Des organisations humanitaires ont révélé que les autorités d’occupation ont banni plus de trente palestiniens de la vieille ville d’al-Quds et de la mosquée al-Aqsa depuis sa récente réouverture.
Dans le cadre des mesures préventives contre la propagation du coronavirus le ministère des Waqfs islamiques avait décidé de fermer la mosquée d’al-Aqsa. La fermeture avait duré 65 jours avant que la mosquée ne soit ouverte de nouveau il y a 11 jours.
Selon le centre d’informations de « Oued Heloua-Salouen » 24 décision de bannissement ont été délivrées aux palestiniens durant le mois de mai dernier. 20 Palestiniens ont été bannis de la mosquée al-Aqsa 2 de la vieille ville et 2 de la ville d’al-Quds.
Ces bannissements visent à priver des fidèles bien déterminés d’entrer dans la mosquée pour une période déterminée. Cette mesure sécuritaire qui entrave les droits de l’homme et la liberté de culte avait paru avec l’apparition des tentatives de diviser la mosquée d’al-Aqsa dans l’espace et dans le temps en 2003.
Notons que les décisions de bannissement sont souvent livrées après la convocation des palestiniens d’al-Quds et ceux vivant dans les territoires occupés en 1948 ils reçoivent des ordres préliminaires de bannissement pour une semaine et ils doivent revoir les postes de la police après un mois pour recevoir un autre ordre de bannissement pour quelques mois.
