Gaza – CPI
Le chef de la division des opérations de l’armée d’Occupation « néonazie sioniste », le général de division Oded Basiuk, a présenté sa démission au chef d’état-major, mais ce dernier lui a demandé de continuer à occuper son poste face aux défis actuels auxquels Israël (entité occupante sioniste ) est confronté.
L’agence Anadolu a cité le journal hébreu « Yedioth Ahronoth » affirmant que Bassiouk est le 3e homme de l’armée d’Occupation après le chef d’état-major Eyal Zamir et son adjoint, notant que sa démission était attendue, deux jours avant le remplacement du chef d’état-major Herzi Halevi, qui a à son tour démissionné, et Eyal Zamir a été nommé à sa place.
Le journal a rapporté que Bassiouk avait annoncé son intention de se retirer de l’armée d’Occupation lors d’une réunion avec le nouveau chef d’état-major, qui a accepté sa demande, mais lui a demandé de continuer à occuper ce poste pendant les mois à venir à la lumière des défis opérationnels.
Selon le journal, l’enquête sur la performance de la Division des opérations n’a révélé aucune négligence ni aucune lacune majeure dans le cadre de l’opération « Flood « déluge d’Al-Aqsa » du 7 octobre 2023, mais il était censé assumer ses responsabilités de commandant de la division, et il est probable qu’il prendra sa retraite au début de l’été 2025.
Le journal hébreu affirme que le départ à la retraite de Bassiouk présente des similitudes avec le départ à la retraite d’autres dirigeants de l’armée d’Occupation « fasciste sioniste », en raison des échecs du 7 octobre, vers la fin de leur mandat prévu, comme le départ à la retraite de l’ancien commandant de la division de Gaza, le général de brigade Avi Ronsfeld.
Selon les enquêtes publiées par l’armée d’occupation la semaine dernière, Basyuk était l’un des trois membres du Forum d’état-major qui ont participé aux consultations nocturnes qui ont précédé le 7 octobre, avec le chef d’état-major Herzi Halevi et l’ancien commandant du commandement Sud, le général de division Yaron Finkelman.
Cette nuit-là, des signes ont été observés en Israël (entité occupante sioniste) indiquant que le Hamas pourrait lancer une attaque, notamment l’activation de dizaines de cartes SIM de téléphones portables sionistes dans la bande de Gaza et des mouvements suspects dans le système de missiles.
Le 7 octobre 2023, la résistance palestinienne a attaqué les colonies de la bande de Gaza, en réponse aux crimes quotidiens de l’Occupation « terroriste sioniste » contre le peuple palestinien et ses lieux saints, en particulier la mosquée Al-Aqsa.
Les responsables sionistes ont considéré cette attaque comme un échec politique, sécuritaire, militaire et de renseignement, et les responsables militaires et de renseignement ont été contraints de démissionner face à cet échec flagrant.