Nazareth – CPI
Des médias hébreux ont rapporté qu’une roquette est tombée sur l’aéroport international Ben Gourion de Tel Aviv, ce qui a entraîné l’arrêt des vols dans l’aéroport.
La police d’Occupation terroriste sioniste a indiqué que des fragments de roquettes sont tombés dans la grande région de Tel Aviv, sans faire de victimes.
Des plateformes sionistes sur Telegram ont diffusé, des images montrant des colonnes de fumée s’élevant près de l’aéroport Ben Gourion à Tel Aviv.
D’autres images montrent une voiture endommagée à Ra’anana, au nord de Tel Aviv, en raison de la chute de fragments de roquette lancée depuis le Liban.
Le nombre de passagers à l’aéroport international Ben Gourion de Tel Aviv a chuté de 43 % durant les neuf premiers mois de l’année 2024. Les répercussions de la guerre d’Israël(entité occupante sioniste) contre Gaza, qui dure depuis le 7 octobre 2023, ont poussé les compagnies aériennes à réduire ou à suspendre leurs vols, selon un rapport de Bloomberg.
L’Autorité des aéroports de l’entité usurpatrice nazie sioniste a indiqué que l’aéroport principal de l’entité sioniste a accueilli 10,85 millions de passagers internationaux entre janvier et septembre derniers, contre 19,01 millions, durant la même période de 2023.
Elle a précisé qu’en raison des services limités offerts par les compagnies aériennes étrangères, de plus en plus de passagers voyagent désormais avec les compagnies aériennes israéliennes, qui ont enregistré une augmentation de 25 % du nombre de passagers.
De nombreuses compagnies aériennes ont suspendu leurs services vers l’entité usurpatrice sioniste, avant de les reprendre plusieurs fois, depuis le 7 octobre 2023. Avec l’escalade du conflit, touchant maintenant le Liban, la situation de voyage dans la région reste chaotique, rapporte l’agence.
Aujourd’hui, l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) a renouvelé sa recommandation d’éviter le survol des espaces aériens sioniste et libanais, ce qui a conduit plusieurs compagnies à cesser leurs vols vers ces deux pays.
Selon Bloomberg, les compagnies aériennes qui traversent la région doivent désormais emprunter des itinéraires plus longs, en utilisant l’espace aérien d’autres pays pour éviter les zones à risque.