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Thu 26-September-2024

27 femmes palestiniennes sont incarcérées en détention administrative

jeudi 26-septembre-2024



Ramallah – CPI

Le nombre de prisonnières détenues administrativement dans les prisons de l’Occupation terroriste sioniste est passé à 27, après que 3 prisonnières du gouvernorat de Ramallah ont été transférées en détention administrative.

Le Club des prisonniers palestiniens a déclaré jeudi dans un communiqué que les autorités d’Occupation nazie sioniste ont transféré les femmes prisonnières : Abla Saadat, l’épouse du prisonnier, le commandant Ahmed Saadat, et Tahrir Jaber en détention administrative pour 4 mois, et l’étudiante Doaa Al -Qadi en détention administrative pendant 3 mois, indiquant qu’elles sont détenus depuis le 17 septembre de cette année.

Le nombre de femmes détenues dans les prisons de l’Occupation nazie sioniste a atteint 97, et ce sont des femmes dont l’identité est connue, dont la majorité se trouvent dans la prison de Damoun. Cela n’inclut pas les femmes détenues de la bande de Gaza qui ont été arrêtées après le 7 octobre 2023. , selon le communiqué.

Le Club des prisonniers a indiqué que parmi les prisonnières se trouvent une prisonnière enceinte et trois prisonnières de Gaza qui ont été détenues avant la guerre génocidaire dans la bande de Gaza.

Il a expliqué qu’il s’agit de nombreuses femmes prisonnières de Gaza détenues dans les camps de l’armée d’Occupation terroriste sioniste, et que leur nombre est inconnu, car les autorités d’Occupation continuent de commettre le crime de disparition forcée à leur encontre.

Le nombre d’arrestations de femmes, depuis le début de la guerre de génocide, a atteint plus de 415, et ce chiffre inclut les femmes arrêtées en Cisjordanie, y compris à Jérusalem occupée, ainsi que les femmes des territoires occupés en 1948, alors qu’il n’existe aucune estimation claire du nombre d’arrestations parmi les femmes arrêtées depuis Gaza, selon le Club du prisonnier

Au début de ce mois, le nombre de détenus administratifs atteignait plus de 3 323, et tous sont soumis à des procès simulés et formels, sous prétexte de l’existence d’un « dossier secret », notant que des centaines de détenus administratifs sont malades et la grande majorité d’entre eux sont d’anciens prisonniers qui ont passé leur vie dans les prisons de l’Occupation nazie sioniste.

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