Londres – CPI
Amnesty International a appelé l’armée d’Occupation nazie sioniste à enquêter sur les attaques contre Rafah, au sud de la bande de Gaza, les qualifiant de crimes de guerre, soulignant que l’Occupation « n’a pas pris les précautions possibles pour éviter ou réduire les dommages qui pourraient infliger aux civils » en conséquence. des raids.
L’organisation onusienne a confirmé dans une nouvelle enquête sur les violations par l’entité usurpatrice nazie sioniste (Israël) de ses obligations internationales de protection des civils, que les raids sionistes, qui ont ciblé les camps de personnes déplacées à Rafah, depuis le début de l’invasion terrestre contre la ville en mai dernier, ont utilisé des armes à large impact.
Elle a souligné que l’utilisation de bombes à fort impact par l’armée d’Occupation terroriste sioniste dans ses attaques contre des zones peuplées de civils et de personnes déplacées constitue une violation, notant que cibler les civils avec des armes imprécises pourrait leur causer des dommages considérables.
Amnesty a déclaré que le droit international interdit les attaques qui ne font pas de distinction entre cibles militaires et civiles, soulignant que l’armée d’Occupation a bombardé des zones qu’elle prétendait « sûres », sous prétexte de cibler les combattants de la résistance palestinienne.
L’enquête a documenté le recours par l’armée d’Occupation sioniste à des attaques aveugles visant les personnes déplacées dans les camps de la ville de Rafah, soulignant que le droit international interdit le recours à ce type d’attaque.
L’organisation a déclaré que le prétexte utilisé par l’armée de l’entité usurpatrice sioniste pour cibler des lieux bondés de personnes déplacées, sous prétexte de la présence de combattants du Hamas ou du Jihad islamique ne l’exonère pas de sa responsabilité de protéger les civils.
Elle a ajouté que le siège illégal de la bande de Gaza par l’ennemi occupant sioniste et le fait qu’il a ordonné aux habitants de la bande de se déplacer vers de petites zones ont exacerbé les souffrances des civils, au moment où la guerre se poursuivrait.
Le 26 mai, l’armée d’Occupation a commis un massacre odieux, en tuant 45 martyrs et des dizaines de blessés dans un bombardement visant un camp de personnes déplacées, au nord-ouest de Rafah. La Défense civile avait alors déclaré que ce qui s’était passé était un véritable massacre à part entière, car l’Occupation a utilisé des armes incendiaires et hautement destructrices, provoquant des cas d’amputations et de graves brûlures pour les victimes, femmes et enfants.
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation nazie sioniste continue à mener une guerre de génocide sans précédent, avec le soutien américain, laquelle a fait plus de 133 000 martyrs et blessés palestiniens, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus de 10 000 de personnes disparues.
