Une institution palestinienne des droits de l’homme a confirmé que les autorités occupantes à la prison de « Sharon » ont transféré dimanche dernier 25/03 les criminelles juives au département (2) où se trouvent les prisonnières palestiniennes ce qui consiste un danger réel pour les Palestiniennes en raison de maltraitance exercées par les coupables.
Dans un communiqué de presse publié aujourd’hui mardi 27/03 la fondation de « Mohjat El-Qods » qui s’occupe des affaires des prisonniers dans les geôles de l’occupation a affirmé qu’elle avait reçu une lettre des prisonnières où elles ont déclaré que l’administration pénitentiaire a transféré des criminelles juives dont leur nombre est de 22 personnes à des chambres adjacentes à leurs chambres dans le même département de leur emprisonnement.
D’autre part la fondation a ajouté que les prisonnières palestiniennes ont révélé que l’administration pénitentiaire avait nettoyé il y a environ une semaine les chambres adjacentes dans le département et quand elles ont demandé la raison on leur a répondu que les criminelles juives seront transférées à ces chambres.
Elles ont également expliqué que leurs situations dans le département » sont très graves où on violait leurs vies privées par les caméras de surveillance connectées au service et dans la cour et à cause de l’existence des insectes » en affirmant que la présence des caméras leur dérange énormément et pourtant elles ont trop parlé au directeur adjoint de la prison et à l’officier de sécurité et du renseignement afin de les enlever mais sans résultat.
D’un autre côté « Mohjat El-Qods » a appelé à la nécessité de l’intervention des organismes concernés par les droits des prisonniers et surtout celui de la Croix-Rouge pour faire sortir les criminelles juives du département où sont emprisonnées les Palestiniennes vu la gravité de la présence des criminelles juives sur la vie des détenues palestiniennes surtout que la majorité des premières sont incarcérées pour des questions éthiques et adressent des mots humiliants à nos chères palestiniennes.