Un rapport Européen des droits humains a souligné que les autorités occupantes israéliennes empêchent le déplacement de centaines de citoyens palestiniens par chaque mois à travers le passage frontalier « Karama » – le pont du roi Hussein – reliant les territoires palestiniens et la Jordanie qui est le seul débouché pour les Palestiniens de la Cisjordanie vers le monde extérieur.
Selon un rapport détaillé établi par l’Observatoire « euro-méditerranéen » chargé des droits de l’homme (EuroMid) intitulé « espoirs restreints» l’entité sioniste a procédé à 4000 cas d’interdiction de voyager contre les Cisjordaniens tout en essayant de franchir le passage frontalier« Karama »(dignité) sous sa souveraineté depuis le début de l’année 2011 à Décembre en cours d’un taux de 83 cas d’interdiction de voyager chaque semaine.
Le rapport fait remarquer que deux tiers des Palestiniens interdits se sont soumis cette à des pratiques (violations) de l’occupation israélienne classées comme «humiliantes»; de l’inspection minutieuse et parfois à nu et l’enquête cruelle par les officiers du renseignement ainsi que de les forcer à attendre de longues durées dans des conditions empilées et très difficiles.
Le rapport a documenté dans une trentaine de pages de différentes formes de témoignages à l’interdiction de voyager où même les malades les personnes âgées et les femmes n’ont pas été exclus de l’interdiction sioniste ainsi que de prévenir un certain nombre de journalistes et de militants politiques et des étudiants de voyager d’étendre la prévention aussi contre des députés élus du Conseil législatif palestinien et le personnel dans des agences internationales et onusiennes.
Grace aux témoignages et statistiques le rapport a conclu que les autorités occupantes israéliennes ont délibérément empêché le déplacement de milliers de Palestiniens chaque année sans donner de bonnes raisons de cette interdiction et sans égard aux conséquences humanitaires des cas ce qui la met dans le contexte de l’abus le harcèlement balayant sans justification.
L’Observatoire euro-méditerranéen a noté dans son rapport que la poursuite de l’occupation a violé le droit à la liberté de déplacement et de mouvement des Palestiniens intervient dans un certain nombre de violations flagrantes des chartes et pactes des droits de l’homme garantis par la communauté internationale et signés par l’entité car la restriction de la liberté de circulation entraîne des violations d’autres droits civils fondamentaux tels que le bon traitement l’éducation du travail et de voyager pour rencontrer les parents et effectuer des rituels religieux.
Le rapport de l’Observatoire ayant son principal siège à Genève a mis en garde contre l’exploitation par les renseignement sionistes des besoins urgents de ceux qui souhaitent voyager à travers l’extorsion et les tentations pour leur permettre de se déplacer à l’encontre de la coopération e sécuritaire avec les services de renseignement sioniste ou de les obliger à signer sous la contrainte sur des documents interdisant leur droit au retour dans les territoires palestiniens à nouveau .
« Ce qu’exerce l’entité sioniste à partir des contraintes de balayage et arbitraire en face d’un droit fondamental des droits humains pour l’allée de et le revient vers n’importe quel pays y compris son pays avec liberté et y revenir quand il veut comme stipulé dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et insisté sur toutes les conventions les droits humains et contrairement elle permet le retour de la population juive sans aucune restriction dans des régions choisies pour la circulation des Palestiniens tout en pointant vers une politique de discrimination flagrante contre la toile de fond de nationalisme que maintient l’occupation et constitue une violation claire du principe d’égalité qui est installé dans les pactes et les conventions des droits humains » a ainsi contesté le rapport contre les violations de l’ennemi occupant.
