Thu 1-May-2025

Les policiers sionistes agressent les propriétaires d’une boutique à al-Qods occupée

jeudi 16-décembre-2010

Les forces de l’occupation israélienne ont envahi la nuit dernière de mercredi 15/12 une boutique dans la ville sainte d’al-Qods occupée en endommageant ses contenus et agressant cruellement ses propriétaires et ses ouvriers ce qui a conduit à la fracture du pied du fils du prioritaire et l’arrestation des ouvriers.

« Six policiers alliés à une unité spéciale de la soi-disant « anti-terrorisme » (Yamam ) ont endommagé le contenu du magasin palestinien cassant le pied du fils du propriétaire et arrêtant les ouvriers car les deux frères de « Moataz » 17 ans  ont demandé au conducteur de l’autobus transportant les troupes sionistes d’avancer un peu de l’entrée de la boutique où un camion voudrais déposer une charge au moment où la police israélienne fait revivre une fête dans (la grotte de Salomon) près de la Porte de Damas (al-Amoud) car l’autobus s’installait sur l’entrée de la boutique mais le conducteur les a appelés  pour perpétrer leur crime hystérique » a souligné Mahmoud Barakat l’un des fils du propriétaire.

Le témoin a souligné également que les envahisseurs criminels sionistes ont frappé brutalement son frère Ahmed qui souffre d’une paralysie en raison d’un accident de route en cassant son pied droit au cours de leur agression.

« Les policiers agresseurs ont cassé les caméras fixés afin de cacher leur crime barbare » a ainsi poursuivi « Mahmoud» affirmant que malgré l’intervention de certains voisins pour empêcher les policiers à lui agresser et leurs expliquer qu’il est une personne paralysée mais ils ont commis leur crime en lui causant une fracture.

Le membre de la famille (Mahmoud) a également ajouté que la police a interdit la présence des 4 témoins ainsi la famille de rendre visite à ses deux frères (Moataz et Ahmed) ou de transférer son frère paralysé à l’hôpital soulignant que la police sioniste a aussi refusé tout témoignage en prétendant que les témoins doivent se diriger avec les policiers vers l’unité d’enquête « Maash » s’ils voudront vraiment porter plainte.
 

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