Gaza – CPI
Le ministre néerlandais des Affaires étrangères, Caspar Veldkamp, a déclaré lundi que la coupure d’électricité par Israël (entité usurpatrice « néonazie sioniste ») à la bande de Gaza est » une source d’inquiétude » et que le blocage de l’aide humanitaire et des services de base était « contraire au droit international ».
Dans un message publié sur son compte X, Feldkamp a estimé que la coupure d’électricité à Gaza par Israël (entité occupante) était « un sujet de préoccupation » et que le fait d’empêcher l’aide humanitaire et les services de base, comme l’électricité, « contredisait le droit international ».
Le ministre néerlandais des Affaires étrangères a souligné la nécessité que les négociations de cessez-le-feu aboutissent rapidement, dans le but de libérer tous les prisonniers, d’améliorer la situation humanitaire dans la bande de Gaza et de mettre fin à la violence.
Plus tôt lundi, le Comité international de la Croix-Rouge a mis en garde contre une « grave crise humanitaire » dans la bande de Gaza, alors qu’Israël(entité usurpatrice « néonazie sioniste ») a suspendu l’entrée de l’aide et interrompu l’approvisionnement en électricité de la seule usine de dessalement de la bande.
Début mars, la 1e phase de l’accord de cessez-le-feu à Gaza, qui a duré 42 jours, a pris fin, tandis qu’Israël (entité occupante sioniste) a évité d’entrer dans la 2e phase et de mettre fin à la guerre.
Avec la fin de la 1e phase de l’accord sur Gaza, Israël (Occupation) a de nouveau fermé tous les points de passage menant à la bande de Gaza, pour empêcher l’entrée de l’aide humanitaire, et a coupé l’électricité à l’usine de dessalement de Gaza, dans le but d’utiliser la famine comme un outil de pression sur le Hamas pour le forcer à accepter ses conditions.
Israël (ennemi occupant sioniste) menace également d’autres mesures d’escalade, y compris des assassinats, pouvant aller jusqu’à la reprise de la guerre de génocide.
Avec le soutien américain, Israël (entité occupante sioniste) a commis un génocide « barbare », sans précédent, contre la population civile de la bande de Gaza, entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier 2025, faisant plus de 160 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 14 000 personnes disparues.
