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Tue 12-November-2024

Amsterdam: violents affrontements entre des partisans de la Palestine et des Sionistes qui ont déchiré un drapeau palestinien

samedi 9-novembre-2024

Amsterdam – CPI

La scène a commencé par des slogans « mort aux Arabes », mais s’est terminée par « vive la liberté pour la Palestine et partez »… C’est ainsi que la situation a évolué dans la capitale néerlandaise Amsterdam, lorsqu’un groupe de Sionistes a lancé des attaques et des cris haineux contre les Arabes, avant d’être confronté par des partisans de la cause palestinienne.

Le ministère des Affaires étrangères d’Occupation nazie sioniste a annoncé que 10 Sionistes ont été blessés et que deux autres sont portés disparus, après avoir été attaqués à Amsterdam, suite à la fin du match de football opposant le club néerlandais Ajax Amsterdam à l’équipe sioniste Maccabi Tel Aviv en Ligue Europa. Le match s’est terminé par une victoire d’Ajax sur un score de 5-0.

L’histoire a commencé par des attaques menées par des Sionistes, qui ont notamment arraché des drapeaux palestiniens des maisons en se dirigeant vers le stade, tout en scandant des slogans racistes contre les Arabes et les Palestiniens.

L’armée d’Occupation terroriste sioniste a indiqué qu’elle se préparait à envoyer une force en Hollande pour aider à l’évacuation des Sionistes attaqués, précisant que la mission « arrivera par avion cargo et comprendra des équipes médicales et de secours ».

Des sources concordantes ont confirmé que des affrontements ont éclaté avec des supporters sionistes, après qu’ils aient déchiré un drapeau palestinien.

Le comportement des Israéliens a suscité la colère des partisans de la cause palestinienne, profondément affectés par les scènes de massacre commises par l’Occupation fasciste sioniste, depuis 13 mois dans la bande de Gaza. En réponse, ils se sont opposés aux Sionistes.

Le Conseil national de sécurité sioniste a demandé aux Sionistes présents à Amsterdam d’éviter de circuler dans les rues et de rester dans les chambres d’hôtel, soulignant à quel point ils étaient devenus des parias.

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