Ramallah – CPI
Le Club des Prisonniers a indiqué que 61 journalistes palestiniens sont détenus dans les prisons d’Occupation nazie sioniste, dont 52 ont été arrêtés depuis le début de l’agression génocidaire barbare contre notre peuple, le 7 octobre dernier.
Dans un communiqué reçu par notre CPI, lundi, le Club des Prisonniers a précisé que depuis le 7 octobre, 98 journalistes ont été arrêtés, dont 52 sont encore détenus. Parmi ces derniers, 15 sont en détention administrative et deux journalistes sont toujours en détention arbitraire.
Le Club des Prisonniers a signalé que « pas moins de 12 des journalistes détenus sont jugés par l’Occupation terroriste sioniste pour des accusations d’incitation. »
Selon les institutions des prisonniers et les avocats représentant les détenus dans les prisons sionistes, l’accusation d’“incitation” repose sur des bases légales floues et peu claires, sujettes à interprétation et à manipulation. Cette accusation est devenue un outil utilisé par les autorités sionistes pour tenter de réprimer les Palestiniens, en particulier les journalistes, et pour faire taire leurs voix sous le prétexte de « l’état de guerre » et de « l’état d’urgence, » accompagnés de lois et de décisions punitives.
Les territoires occupés de la Cisjordanie subissent des incursions continues par les forces armées d’Occupation fasciste sioniste, accompagnées de violents affrontements qui ont entraîné l’arrestation de milliers de Palestiniens et la mort de centaines de martyrs. Parallèlement, une guerre dévastatrice, génocidaire barbare, se poursuit sur la population civile dans la bande de Gaza, provoquant des dizaines de milliers de victimes, principalement des enfants et des femmes.
Depuis le 7 octobre, l’armée d’Occupation nazie sioniste intensifie son agression génocidaire brutale, sans précédent, contre l’enclave assiégée, avec le soutien des États-Unis et de l’Europe. Ses frappes aériennes visent les environs des hôpitaux, les bâtiments, les tours et les maisons des civils palestiniens, les détruisant sur les têtes de leurs habitants, tout en empêchant l’entrée de l’eau, de la nourriture, des médicaments et du carburant.