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Sat 14-September-2024

Le Hezbollah a bombardé une position de l’armée d’occupation dans le Galil

dimanche 28-juillet-2024

Liban- CPI

Le Hezbollah libanais a annoncé ce dimanche avoir ciblé une position de soldats de l’armée d’Occupation terroriste nazie sioniste dans le village de Al-Manara dans le Galil, en utilisant des « armes appropriées ».

Dans un communiqué, le Hezbollah a déclaré : « En réponse aux agressions israéliennes contre les villages du sud, des soldats nazis sionistes stationnés à Al-Manara ont été ciblés avec des armes appropriées, et elle a été touchée directement, ce qui a conduit à son incendie et à des blessures parmi les occupants. »

La nuit dernière, l’armée d’Occupation terroriste sioniste a mené des frappes aériennes sur la Bekaa et le sud du Liban, prétendant que le Hezbollah avait bombardé un terrain de football dans le village de Majdal Ein Shams, dans le Golan syrien occupé.

Alors que le Hezbollah a nié toute implication dans l’attaque contre le village, les missions des Nations Unies et les forces de maintien de la paix « UNIFIL » au Liban ont averti ce dimanche d’un risque d’embrasement en cas de « guerre totale et de conflit plus large entre l’Occupation terroriste sioniste et le Hezbollah, ce qui pourrait plonger la région dans une catastrophe ».

Depuis le 8 octobre, la frontière nord de la Palestine occupée connaît une tension extrême et des échanges de tirs intermittents entre l’armée de l’ennemi usurpateur nazi sioniste et le Hezbollah libanais, entraînant des morts et des blessés des deux côtés.

Le Hezbollah conditionne l’arrêt de ses attaques contre l’Occupation nazie sioniste à la fin de la guerre dévastatrice que cette dernière mène, avec le soutien américain, contre la bande de Gaza depuis le 7 octobre.

L’Occupation fasciste sioniste mène une guerre barbare de génocide contre Gaza, ayant causé jusqu’à présent plus de 39 000 martyrs, plus de 90 000 blessés, dont la majorité sont des enfants et des femmes, et 10 000 disparus. Cette offensive a provoqué des destructions massives des infrastructures de santé et d’éducation, ainsi qu’une famine ayant entraîné la mort de dizaines d’enfants, selon les données de l’Organisation des Nations Unies.

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