Un rapport du Centre de Jérusalem pour les études sur les affaire Israéliennes et palestiniennes a révélé que les autorités d’occupation ont poursuivi leur politique raciste contre les Palestiniens la confiscation de leurs terres et la menace de démolition de nombreuses installations au cours du mois de septembre 2018.
Le rapport souligne que l’occupation continuait de démolir des dizaines d’établissements résidentiels et commerciaux tout en approuvant la construction de milliers d’unités de logement dans les colonies de Cisjordanie après la confiscation et la destruction des terres des citoyens et la construction de routes pour les colons.
Le Centre a indiqué dans son rapport statistique que les mesures prises par l’occupation israélienne concernaient les installations appartenant aux Palestiniens situées à l’intérieur de la Ligne verte dans le cadre de leur politique de harcèlement visant à les déplacer alors qu’ils poursuivent leur siège du village de Khan Al-Ahmar au nord-est de Jérusalem occupée afin de le démolir.
Emad Abou Awad directeur du Centre de Jérusalem a souligné que la politique du gouvernement de droite visant à accélérer la colonisation est devenue stable et enracinée trois partis se faisant concurrence pour augmenter sa vitesse à savoir : le Likoud la patrie juive et Israël Beituna.
Abou Awad a souligné que la décision du gouvernement israélien de pousser les populations à démolir leurs maisons sous prétexte de violation relevait du fait que les autorités sionistes supportaient le coût de la démolition du propriétaire de sorte que les Palestiniens étaient obligés de démolir eux-mêmes leurs maisons pour éviter des lourdes amendes.
En septembre l’occupation a procédé à 14 démolitions sur l’ensemble de la Cisjordanie y compris à Jérusalem occupée et a forcé des Palestiniens à démolir leurs installations.
