Une lecture de la réalité de la réconciliation et du devoir arabe envers celle-ci
Abdurahman Saliha
Une évolution remarquable a eu lieu dans le dossier de la réconciliation palestinienne lors des derniers jours entre les mouvements du Fatah et du Hamas sur le territoire national loin des capitales arabes. Les médias ont annoncé la fin de la division depuis le cœur du camp de réfugiés Chatae malgré le fait que chacun le Fatah et le Hamas pensait signer l’accord au Caire ou à Doha.
Ce qui s’est produit en matière d’accord de fin de division voilà quelques jours a suscité la colère des leaders de l’entité et du gouvernement israélien et des Etats-Unis. Ils ont souligné la dangerosité de ce pas qu’a effectué Abu Mazen en concluant l’accord et la réconciliation avec le mouvement du Hamas. Les plus importants défis se trouve dans la déclaration du gouvernement israélien dans laquelle il annonce l’arrêt des négociations et l’imposition de sanctions contre l’AP ainsi que dans l’éventualité d’un envoi de roquet depuis la bande de Gaza ce sera Ramallah qui en sera responsable. Quant aux USA sa prise de position a été représentée par l’arrêt de l’aide financière de l’AP dès lors que le nouveau gouvernement palestinien a été formé et dans lequel le mouvement du Hamas y a été représenté. Ces déclarations nous rappellent celles publiées par les USA et l’union européenne après la formation du gouvernement d’unité palestinienne en 2007 après la victoire du Hamas dans les élections parlementaires.
Tous les indicateurs qui ont été publié par l’entité après la signature de la réconciliation montrent qu’il a des forces dirigées par Israël qui cherchent à faire avorter la réconciliation palestinienne. Le dernier en date était le retirement de la légitimité d’Abu Mazen et son accusation de se réconcilier avec des organisations terroristes qui menacent l’existence de l’entité.
La position palestinienne et sa capacité à affronter ces défis qui peuvent faire échouer la réconciliation palestinienne s’il n’y pas d’alternatives aux aides américaines et européennes et aux fond de l’AP coincés en Israël ont été recensé. Nous trouvons aussi une position palestinienne qui s’est chargé de la communication avec Israël l’Amérique et l’Europe mais nous ne connaissons pas la véracité ni l’acceptation du mouvement Hamas de cela. L’autre sujet qui fait polémique est la promesse d’Abu Mazen que l’accord avec le Hamas n’a eu lieu que sur la base des obligations de l’OLP dont la reconnaissance d’Israël le refus de la violence et le respect des anciens accords. Alors que la deuxième partie qui est représenté par le mouvement Hamas et du gouvernement dans la bande de Gaza qui a publié une communiqué après la réconciliation dans lequel il appelle les arabes à fournir un réseau sécuritaire financier et politique et d’accueillir le gouvernement d’unité palestinienne.
La déclaration de la fin de la division est arrivé dans une période difficile tendue et précise dans le cadre d’un activisme révolutionnaire arabe étincelant qui se caractérise avec les changements de gouvernements arabes. Dans une époque qui se caractérise avec l’échec des négociations entre l’AP et l’entité et une crise financière et politique que vit le mouvement du Hamas et le gouvernement après les crises qui ont frappé leurs alliés. C’est pourquoi la réconciliation a besoin de la restauration des positions arabes les pays arabes doivent faire remplir leurs devoirs arabes et islamiques pour remettre la question palestinienne à sa place logique qui impliquerait l’unité des démarches la rigueur des positions le travail unifié pour défendre Jérusalem les prisonniers et les la terre ainsi que lever le blocus contre Gaza et la disparition des tensions et de la haine. La question palestinienne est une affaire qui appartient aux arabes et aux musulmans sans encouragement ni soutien arabe [la Palestine] est comme un enfant dont l’on exécute la famille entière seul cet enfant reste vivant mais passera alors d’épreuve en épreuve et n’aura personne mis à part Dieu.
