Une Organisation Palestinienne des Droits de l’Homme a appelé le Conseil de Sécurité et la communauté internationale à intervenir pour arrêter la détérioration de la situation humanitaire dans la bande de Gaza de refaire fonctionner tous les secteurs des services et de la productivité et d’améliorer la situation sanitaire et le secteur de l’éducation qui a été gravement détérioré en raison du resserrement du siège et l’augmentation des pannes d’électricité.
Le centre « protection » des droits de l’homme a indiqué dans un communiqué que le blocage de l’entrée de carburant et de matériaux de base à la bande de Gaza contribuera à une crise majeure dans le secteur et ceci aura des conséquences négatives condamnant l’exploitation des besoins humanitaires pour des raisons purement politiques ce qui est contraire au droit international et à la Charte Universelle des droits de l’homme.
Le centre a souligné que la bande de Gaza souffre depuis vendredi dernier de situations humanitaires difficiles avec l’arrêt de fonctionnement de la centrale d’électricité et à cause des quantités limitées et insuffisantes de carburant entrant dans le secteur à travers les points de passage surtout le gaz de cuisson en raison de la poursuite de l’occupation d’imposer la politique du blocus sur l’enclave assiégée et la poursuite des autorités égyptiennes de fermer les tunnels et de prévenir l’entrée de tous les types de carburant notamment le diesel qui est nécessaire pour faire fonctionner la seule centrale électrique de Gaza en plus d’empêcher l’entrée de matériaux de construction à travers les points de passage entre la bande de Gaza et l’état de l’ennemi occupant ou ce qui relie le secteur assiégé et la république arabe d’Égypte.
Le centre a déclaré: «Cette situation a complètement paralysé la vie publique dans le secteur et a conduit à des conséquences humanitaires négatives dans le cadre économique et social ».
Il a expliqué que cette situation a bloqué la vie de plusieurs personnes. Ils ne peuvent plus se déplacer pour accéder à leurs lieux de travail et sont devenus incapables de satisfaire leurs besoins de base. D’un autre côté le nombre d’étudiants bloqués et qui n’ont pas pu continuer leurs études a augmenté.
« L’électricité et la crise du carburant ont affecté les services de santé dans les hôpitaux et centres de santé en particulier les partitions dynamiques tels que : les unités de soins intensifs les sections de cardiologie la section des brûlures et autres » a-t-il également poursuivi.
