Le prisonnier politique paralysé Alaa Wichahi poursuit une grève de la faim pour la sixième journée consécutive en signe de protestation contre son maintien en détention à partir du camp de réfugiés de Jénine sans preuves ni motif légal.
La famille Wachahi a déclaré au journaliste du «Centre palestinien d’information »que : « Leur fils Alaa Hassan Wachahi âgé de 27 ans est entré en grève de la faim depuis mercredi dernier le 23 octobre et qu’il était détenu depuis le 4 octobre au début de la campagne menée par les dispositifs de l’Etat sur le camp de réfugiés de Jénine après que sept patrouilles appartenant au service de renseignement et de sécurité nationale l’ont interrogé près de l’hôpital du martyr Khalil Suleiman dans la ville sur le chemin ( commando ) et l’ont emmené au siège du comté malgré qu’ il marche avec des béquilles à la suite d’une balle dans le dos tirée par les forces armées de l’occupation le 24.07.2002 ce qui a conduit à briser quatre vertèbres qui l’a rendu paralysé et l’incapacité dans la marche de 80 % ».
La famille a indiqué que : « l’autorité est l’entière responsable de la santé de son fils qui souffre tellement en raison de sa blessure son corps ne peut pas supporter la grève de la faim » en revendiquant la nécessité de le libérer.
La famille répréhensible a déclaré : « Nous sommes allés aux autorités sur une période de 10 ans pour nous donner un coup de main pour le traitement de notre fils après que son médecin nous a rassuré que plusieurs interventions chirurgicales coûtent 20 mille dollars ce qui l’aide à retrouver 90% de la capacité de ses jambes pour marcher et l’Etat nous a seulement aidé par cinq mille dollars et maintenant sont venu arrêter notre fils? »
Ceci et poursuit les dispositifs de sécurité une compagne de répression depuis plus de vingt jours en déclarant qu’elle a été à la poursuite des personnes hors la loi tandis qu’elle traque les insurgés et les partisans du Hamas et du Jihad islamique sur les terres de Wayaa.
Il est à noter que Alaa le détenu politique a un frère détenu dans les prisons de l’occupation il y a 11 ans qui est Firas Hahi et condamné à 13 ans de prison.
