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Halayka: le discours de lAP sur larrêt des négociations est un mépris pour les Palestiniens

jeudi 11-juillet-2013

« Les réunions des leaders du mouvement du Fatah et l’AP à Ramallah avec l’occupation israélienne n’ont pas étonné ou des  nouvelles parce que ces réunions ne s’arrêtent pas dans le secret ou en solennellement » a déclaré Samira Halayka la dépurée du bloc « Changement et réforme » qui représente le mouvement du Hamas au conseil législatif palestinien.

Halayka a attiré l’attention que la reprise des négociations est une claire option de l’AP et ses leaders et l’une de ses profondes stratégies.

Halayka s’est interrogée dans ses déclarations exclusives à l’agence « Quds Presse » sur le fait qu’un leader palestinien et le membre du Comité central du mouvement du Fatah souhaite la guérison pour le Rabbin Auvaidya Joseph qui a décrit les Palestiniens comme les serpents et les grenouilles et a appelé à les mettre fin dans un signal aux déclaration de Nabil Chaath lors de sa réunion avec les partis extrémistes israéliens.

 » Ces réunions tenues par les leaders du mouvement du Fatah et de l’AP expriment l’état de ces leaders qui poursuivent les fournitures du gouvernement israélien pour ces symboles et leaders pour obtenir à plus de concessions au détriment de la cause palestinienne »a-t-elle ainsi souligné.

La députée palestinienne a ajouté que ces réunions expriment la véritable position de l’OLP et le Fatah sur les négociations et les réunions avec le côté israélien en contraire à ce qui a été publié par l’AP en public.

Halayka a également considéré que le discours de l’AP sur l’arrêt des négociations avec le côté israélien est un mépris des raisons des Palestiniens à la lumière de ces réunions avec des partis participants dans le gouvernement israélien.

La député Halayka a vu que la reprise des négociations n’est pas une cible ou une stratégie pour l’occupant lorsque ses gouvernements violent tous les accords signés depuis 1993 en plus de la politique continue de la terre brûlée par l’armée et les colons extrémistes sous l’égide des hauts niveaux des dirigeants de l’occupation au moment où l’AP n’a pas pu maintenir les terres classées sous son contrôle selon les accords.

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