Un rapport publié par l’Institut des recherches exécutives Arij a déclaré que les forces armées de l’occupation israélienne envisagent de s’emparer des dizaines de milliers de bâtiments palestiniens dans le grand processus de saisis dans l’histoire.
Les racines de la cause retournent à l’année 1950 où le gouvernement de l’occupation a publié la loi des « Biens des Absents » qui stipule la confiscation des biens des réfugiés palestiniens qui ont été forcés de quitter leurs terres lors de la Nakba sous prétexte qu’ils se trouvent à l’extérieur des frontières de l’Etat de l’occupant israélien pour que ces biens deviennent une possession du Gardien des Biens des Absents dans le but de les maintenir et sans permettre d’être vendus qu’à l’autorité du développement.
Le rapport a souligné que la loi des Biens des Absents a été modifiée plusieurs fois pour annexer autant que possible des terres et les bâtiments au profit du projet colonialiste et d’expansion dans les territoires palestiniens y compris la modification qui a permis au Gardien des Biens des Absents un fonctionnaire appartient au ministère des finances de vendre ces biens à l’autorité du Développement qui appartient au Département des Terres d’Israël qui contrôle de son côté 93% des terres dans l’Etat de l’occupation.
L’institut d’Arij a confirmé que l’application de la loi des Biens des Absents sur les biens des Cisjordaniens en Jérusalem est une tentative israélienne d’utiliser ces terres pour servir les objectifs coloniaux et d’expansion où les bâtiments confisqués par cette loi et d’autres seront transférés au profit des entreprises colonialistes sionistes.