Le centre d’Ahrar pour les études des captifs et les droits de l’homme a fermement dénoncé la prolongation de l’arrestation de quatre députés palestiniens emprisonnés dans la prison désertique du Néguev ce qui représente une violation de la légitimité palestinienne et un abandon du choix du peuple et bâillonnement explicite de sa voix.
Fuad el-Khafache le directeur du centre d’Ahrar a déclaré dans un communiqué dont notre CPI a obtenu une copie que l’occupation a prolongé l’arrestation de quatre députés enlevés et sont: Dr. Mahmoud Ramhi le secrétaire du conseil législatif palestinien le député Yasser Mansour Ahmed Attoun et Bassem Zarir pour 6 mois pour chacun.
El-Khafache a déclaré que la prolongation de l’arrestation de ces députés et leurs arrestation administrative est un bâillonnement explicite de la voix du peuple palestinien et une tentative de paralyser son choix démocratique parce que ces délégations ont été démocratiquement élues dans des élections libres selon les témoignages du monde entier ce qui n’a pas été accepté par l’occupation qui les a kidnappés plusieurs fois après qu’ils ont été élus pour représenter le peuple palestinien.
Il a exprimé son étonnement sur la parole de la nécessité des élections législatives dans un lieu violé par l’occupation qui ne respecte pas le choix du peuple et arrête encercle et exile ses députés démontrant que 51 députés et ministres ont été arrêtés depuis 2006 et jusqu’à maintenant.
Le centre juridique a assuré que 13 captifs et anciens ministres sont emprisonnés dans les prisons de l’occupation y compris 9 captifs administratifs sans aucune accusation.
