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Loccupation sépare les prisonniers selon leurs villes dorigine

lundi 22-avril-2013

Des sources juridiques palestiniennes ont déclaré que l’administration pénitentiaire israélienne a informé les détenus palestiniens de la prison de Jalbou qu’elle séparera les captifs de la Cisjordanie occupée et la Bande de Gaza de ceux de la ville occupée de Jérusalem et les territoires occupés en 1948.

Le centre d’Ahrar pour les études des captifs et les droits de l’homme a décrit dans un communiqué de presse la décision de l’administration pénitentiaire israélienne comme raciste et montrant le vrai visage de l’occupation qui sépare les prisonniers selon leurs origines.

Il a souligné que l’occupation adopte la politique de deux poids deux mesures avec les prisonniers des territoires occupés en 1948 en refusant de les libérer dans le cadre des opérations d’échange des prisonniers en prétendant qu’ils sont des citoyens israéliens alors qu’ils ne bénéficient pas des mêmes droits que les détenus israéliens et elle pratique à travers de cela le racisme et la différence entre ses citoyens sur la base de leurs nationalités.

Le centre juridique a déclaré que cette mesure n’est pas la première de son genre car elle a été déjà appliquée annulée et proposée de nouveau dans cette étape afin de séparer les prisonniers et les punir sous de faibles prétextes sans aucune valeur.

Il a appelé les organisations et les institutions des droits de l’homme à dénoncer les mesures de l’occupation israélienne dans le monde entier pour voir comment l’occupation agit envers les prisonniers palestiniens.

D’autre part des sources juridiques palestiniennes ont déclaré que l’administration pénitentiaire israélienne impose des amendes élevées sur les captifs palestiniens en répondant à leurs mesures de protestation.

Le Club du captif palestinien a déclaré dans un communiqué de presse que la gestion de la prison de Rimon réprime les prisonniers et leur inflige des amendes élevées de plus de 90 000 shekels (25 000 dollars) pour répondre à leurs mesures de protestation prises après le martyre du captif Maissara Abou Hamdia.

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