Wed 3-July-2024

Rapport : 1000 détenus palestiniens malades dans les prisons israéliennes

mardi 16-avril-2013

Le chef du comité suprême de suivi des affaires des prisonniers et des ex-prisonniers à Ramallah Amine Chauhan a indiqué que plus de mille prisonniers palestiniens dans les prisons de l’occupation sioniste souffrent de diverses maladies vingt-cinq d’entre sont atteints de cancers.

Chauhan a déclaré dans un communiqué de presse que « les prisonniers subissent une négligence médicale délibérée et volontaire et l’occupation suit une politique qui vise à les sortir tous des prisons dans des cercueils comme cela s’est produit avec le martyr Ashraf Abu Dhariia Arafat Jaradat et Mayssara Abu Hamdiya ».

Il a souligné que « l’occupation tergiverse dans l’affaire du captif Samer al-Issawi après avoir échoué dans sa déportation vers les pays européens et cette politique est rejetée par le mouvement captif et le peuple palestinien« . 

Chauhan a transmis un message à toutes les institutions internationales et organisations des droits de l’homme pour assumer leur responsabilité et faire leur possible pour sauver la vie des prisonniers malades et des prisonniers en grève de la faim.

Le message a aussi appelé toutes les associations palestiniennes des droits de l’homme les ministères les institutions et les personnalités impliquées ainsi que toutes les personnes concernées par la cause des prisonniers à unifier leur activité cette année en faveur de la Journée du prisonnier palestinien qui aura lieu demain avecun seul programme.

Le centre Ahrar d’études des prisonniers palestiniens a déclaré : « Beaucoup d’organismes et d’institutions ont annoncé leur intention de mettre en œuvre des activités en faveur des prisonniers à l’occasion de la Journée des prisonniers palestiniens et ont présenté les programmes et les dates de ces événements sans se coordonner les uns avec les autres et sans avoir de programme unique ce  qui affaiblit le mouvement de solidarité avec les prisonniers  et disperse les efforts des différentes parties. A l’heure actuelle nous n’avons surtout pas besoin de cela surtout que les prisonniers sont exposés à l’attaque la plus féroce et sanglante dans l’histoire du mouvement captif. « 

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