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Amnesty International:le mur de séparation constitue une violation continue du droit international

samedi 23-mars-2013

Amnesty International considère que le mur d’apartheid construit par les autorités de l’occupation israélienne sur la terre palestinienne en Cisjordanie occupée et qui a terminé sa plus grande partie « représente une violation continue du droit international car il sépare les Palestiniens de leurs terres agricoles. »

«Les agriculteurs palestiniens dans le village de Jayyous dans le nord de la Cisjordanie et qui ont souffert pendant des années d’un manque d’accès aux terres agricoles à cause du mur qui prend dans ce domaine la forme de la barrière électrifiée et fortement gardé confrontent également des difficultés supplémentaires en raison des colons. » A-déclaré Amnesty International dans un rapport.

Amnesty a attiré l’attention sur les difficultés rencontrées par les agriculteurs palestiniens et causées par les colons » concernant leurs avant-postes mobiles installés au nord de la colonie » Zufim  » près de la ville de Qalqilya et sur les terres des agriculteurs palestiniens en réponse à une décision de la Cour suprême israélienne qui prévoit la réorientation du mur de séparation afin qu’une partie des terres retourne aux fermiers palestiniens. « 

Ann Harrison directeur adjoint du programme « Moyen-Orient et Afrique du Nord » à Amnesty International a déclaré: « Les colons qui entravent  de rediriger la barrière tout simplement parce que cela donne une petite partie de la terre aux paysans palestiniens et déjoue les plans d’expansion des colonies est scandaleux complètement. »

« Le droit international exige de démanteler le mur de séparation raciste et les colonies des territoires occupés palestiniens mais la réalité sur le terrain est trop loin et on ressentit que les bulldozers israéliens ont balayé les Conventions de Genève et la décision de la CIJ considérant l’installation de la barrière dans les territoires palestiniens comme illégale et doit être retirée et indemniser les Palestiniens qui ont subi un préjudice du fait du mur » a poursuivi Ann Harrison.

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