La famille de l’ex-captif libéré Karim Chaheen emprisonné actuellement dans la prison de Jéricho de l’Autorité palestinienne (AP) depuis deux semaines a confirmé que son fils avait été torturé physiquement ce qui l’a conduit à un état de semi-paralysie dans sa main et il ne peut pas la faire bouger.
Sa femme a indiqué que son mari a déjà subis pendant son ex-détention par le préventif d’Hébron des tortures qui ont causé une paralysie de l’une de ses mains mais quand il a été libéré il a suivi un traitement qui l’a aidé à guérir.
Elle a ajouté: «Combien nous avons été choqués quand nous avons visité Abou Akram à la prison de Jéricho samedi dernier et que nous avons constaté qu’il ne pouvait plus faire bouger sa main et qu’il souffre de douleurs à la poitrine causée lors de son arrestation précédente dans les prisons de l’occupation. »
L’épouse de Chaheen n’est plus préoccupé actuellement par le crime des arrestations politiques car tout la famille est inquiète à cause de la torture et l’état de santé de son mari.
Elle a décrit le jour de l’arrestation de son mari qu’il n’était pas un jour normal dans la vie de la famille. Les membres de l’Autorité Palestinienne et le service de renseignement ont pris d’assaut de manière violente la maison l’ont fouillée et altéré son contenu au milieu des cris de son fils Akram et les déplorations de sa mère et ses deux sœurs.
Elle s’est demandé où est l’application de la décision de la réconciliation pour mettre fin aux arrestations politiques ?
