Le centre d’Ahrar pour les études des captifs et les droits de l’homme a fermement dénoncé la loi israélienne qui permet un nouveau procès pour les prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l’opération d’échange de prisonniers et d’imposer les précédents jugements sur eux selon la loi nommée 186.
Fouad al-Khafach le directeur du centre d’Ahrar a déclaré qu’après le succès réalisé par la résistance à libérer les prisonniers condamnés à des peines élevées l’occupation veut se venger des ex-détenus à travers une loi militaire.
Il a appelé les organisations internationales à la nécessité de travailler pour combattre cette loi violant la logique et mettant la vie des prisonniers libérés en véritable danger à propos de toute infraction peut être commise. Il a assuré que cette loi a une nature militaire et vise à arrêter les ex-détenus de nouveau.
Le centre juridique a ajouté que le Hamas et les égyptiens doivent avoir une position claire à déclarer les détails de l’accord et de ne pas permettre de toucher le prestige de l’Egypte et la résistance via cette nouvelle loi.
Fouad al-Khafach a assuré que l’occupation a arrêté 14 des prisonniers libérés dans le cadre de l’opération d’échange y compris les deux captifs grévistes de la faim Aymen Charwana et Samer Issawi.