Le Comité des relations étrangères au syndicat des journalistes égyptiens a fermement condamné l’intervention du premier ministre de l’occupant Benjamin Netanyahu dans les affaires de la presse égyptienne décrivant son intervention comme inacceptable et qu’il est la dernière personne qui a le droit à parler sur le harcèlement des journalistes à la lumière d’implication enregistrée de l’occupant dans les violations de la liberté des journalistes palestiniens en Cisjordanie occupée la ville de Jérusalem et dans les territoires palestiniens occupés en 1948.
Le coordinateur du Comité Hicham Younès a déclaré dans un communiqué que les gouvernements successifs d’Israël violent le droit des journalistes dans le déplacement et le travail sans restrictions en les ciblant avec sang-froid en plus des poursuites de sécurité et juridiques pour des raisons politiques ce qui rend toute déclaration des responsables occupants sur la liberté et la démocratie comme un type de futilité.
Il a ajouté: « Ce qui a été diffusé par le journal hébreu de Maariv que Netanyahu a présenté une plainte aux responsables à l’Union Européenne en raison de ce qu’il a décrit par Netanyahu l’entêtement du président Mohamed Morsi avec la presse égyptienne est une intervention rejetée dans une affaire purement égyptienne et que tout journaliste égyptien n’est pas honoré d’être représenté par Netanyahu ».
Netanyahu a déjà dit dans une lettre adressée avec son conseiller politique Roun Darmar à l’UE que le président Morsi emprisonne les journalistes et les juges dans les tribunaux et dirige les médias selon ses désirs alors qu’il harcèle les journalistes ce qui cause une inquiétude profonde envers l’avenir de la liberté et la démocratie en Egypte selon ses allégations.
