Le centre d’el-Mizan pour les droits de l’homme a prononcé le dimanche 15/7 son témoignage devant le comité de l’ONU pour l’enquête sur les violations des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés.
Le témoignage a été prononcé par Samir Zakout et Mirfat Khal devant le Comité qui s’est réuni à Gaza où ils ont attiré l’attention à la colère des victimes et les habitants civils en général de la continuation de la faiblesse des Nations Unies de cesser l’agression continue et de lever le blocus imposé sur Gaza ainsi que la faiblesse de la communauté internationale de s’acquitter de ses obligations en particulier en ce qui concerne la comptabilité et la reddition de comptes pour les violations graves du droit international humanitaire et des droits de l’hommes.
Le témoignage a compris des statistiques et des chiffres enregistrés et documentés par le Centre d’el-Mizan pour les droits de l’homme aux violations des droits de l’homme et les règles du droit international humanitaire commises par les forces occupantes israéliennes durant la période de 1 juillet 2011 jusqu’à 1 juillet 2012 la durée entre les deux réunions du comité.
Il a proposé les nombres des martyrs palestiniens les maisons démolies et les terres agricoles rasées ainsi que les ateliers industriels et les magasins commerciaux montrant également des nombres et des statistiques sur les victimes et les dégâts touchant les civils depuis le déclanchement de l’Intifada ainsi que l’escalade des pratiques répressives contre les prisonniers dans les geôles de l’occupant.
Le centre a rappelé dans son témoignage de l’agression de l’ennemi occupant contre la Bande de Gaza fin2008/débout 2009 et ses effets dévastateurs sur les droits de l’homme et les situations humanitaires surtout en ce qui concerne l’incapacité de reconstruire ce qui a été démoli dans la guerre et la continuation à expulser obligatoirement de grands nombres des victimes au moment où la communauté internationale a montré un échec à réaliser la justice malgré l’échec des autorité de l’occupation à enquêter sur les crimes commis où les enquêtes ont été fermées sans accusation contre les soldats coupables et sans aucune préparation de compenser les victimes.
Le centre a souligné au blocus continu pour le 6ème an successif qui a participé à son tour à approfondir la détérioration des situations humanitaires.
