Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir achevé tous les préparatifs pour exposer le film sur la sécurité ; le premier en son genre qui a été diffusé jeudi soir 28/06 à 20 heures 30 sur le site internet du ministère et par un certain nombre de médias.
Dans un communiqué dont le CPI a reçu une copie le Ministère a affirmé que ce film contiendra des confessions d’anciens traîtres dangereux d’autres qui travaillaient au sein des factions de la résistance palestinienne d’autres combattants qui ont travaillé durant les années soixante et les années quatre-vingt ainsi qu’une catégorie de traîtres qui a travaillé en tant cinquième colonne pour diffuser les rumeurs déstabiliser et créer une confusion parmi les palestiniens.
Le Ministère a expliqué que cela vient dans le cadre d’une sensibilisation sécuritaire et afin de montrer les victoires de la bataille cachée entre ses services de sécurité et les renseignements de l’ennemi occupant de dissuader les traîtres qui travaillent encore pour l’occupation sans tenir compte de ce qui est arrivé aux autres qui ont été exécutés ou qui sont encore sous l’emprise des services de sécurité à Gaza.
Le ministère de l’intérieur a souligné qu’il est certain que les services de renseignements sionistes imposeront une restriction inattendue sur les médias hébreux afin de les empêcher de publier tout document et information importante diffusés et annoncés par le ministère palestinien de l’Intérieur.
Il est à noter que les services de sécurité à la bande de Gaza avaient découvert il y a un an un grand réseau sophistiqué de traîtres qui ont participé à un certain nombre de tâches qui leur sont attribuées par les services de renseignements sionistes à la bande de Gaza depuis la première Intifada et même après la guerre sur Gaza en hiver 2008-2009.
D’autre part le ministère de l’Intérieur avait lancé le 8 mai 2010 une campagne pour ouvrir la porte du repentir aux traîtres et aux collaborateurs avec l’occupation et elle a pris fin le 10 jillet de la même année. Cela a poussé plusieurs traîtres à annoncer et déclarer leur repentance alors que le ministère de l’Intérieur a insisté sur le fait que celui qui ne s’est pas livré à la sécurité intérieure après la date limite de repentance subira la plus lourde sanction.
