La Fondation d’el-Aqsa pour el-Wakf et du patrimoine a souligné dans un rapport médiatique publié lundi le 25/6 que l’occupation israélienne a détruit des couches archéologiques des bâtiments historiques d’une succession de temps depuis les années du Moyen Age des omeyyades et abbassides – et même de la période ottomane y compris la mosquée et le bâtiment de l’école d’el-Afdhalia qui remonte à l’époque ayyoubide.
« Le soi-disant (Autorité des Antiquités sioniste) a démoli et détruit d’une manière systématique les patrimoines islamiques notamment durant les derniers cinq ans lors des fouilles menées dans el-Aqsa à l’ouest de l’esplanade d’el-Bouraq à une distance d’environ 100 mètres de la Mosquée d’el-Aqsa qui est dans une zone du quartier des Maghrébins. Lequel a été détruit par l’occupation en 06/11/1967 quand elle a transféré tout le quartier en ce qu’il s’appelle actuellement faussement «cour des Lamentations » a rapporté la Fondation d’el-Aqsa
Elle a noté qu’elle avait effectué des plusieurs visites sur le terrain à l’emplacement de ces fouilles et a examiné les documents et les études et les photos qui confirment les crimes des branches de l’occupation.
« L’occupant israélien continue à détruire les monuments et les bâtiments historiques du patrimoine islamique au moment où il prétend qu’il a découvert les actifs de la déclaration juive antique à la structure de la première et la deuxième prétendues temples où il prévoit d’installer un immense immeuble judaïque sur cinq étages certains profondément dans le sol sur le site répertorié sous le nom « Logement du patrimoine des Lamentations » (maison Hliba) a-t-elle souligné.
« Ces activités de violation criminelle et de profanation ont indiqué que la région a vu des fouilles dans les années précédentes avec la participation d’environ 60 ouvriers excavateurs par jour ainsi que des outils lourds parfois des bulldozers à une profondeur d’environ 5 mètres au-dessous du niveau général de « l’esplanade d’el-Bouraq » et à une profondeur de plus de 13 mètres du niveau général de la voie de l’honneur (Charaf). Laquelle a été saisie par l’occupation en 1967 où elle a détruit la plupart de leurs bâtiments arabo-islamique et y a mis en place un quartier colonialiste nommé « quartier juif » a également précisé la Fondation.
