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Loccupation exerce des pratiques dopression et de fouille à nu sur 165 prisonniers

jeudi 26-avril-2012

Le Centre d’Ahrar pour les études des prisonniers et les droits de l’homme a révélé que l’administration pénitentiaire de l’occupant israélien a transféré lundi dernier 165 prisonniers de la prison de Majdou au nord de la Palestine occupée dont 140 prisonniers appartiennent au mouvement du Hamas et 25 autres appartiennent au Front populaire aux prisons de Gilboa et Shatta en soulignant qu’elle a retiré leurs vêtements et leurs biens de peur d’avoir caché le sel dedans.

Le Directeur du centre d’Ahrar pour les études des prisonniers et pour les droits de l’homme; Fouad el-Khafsh a déclaré qu’environ 165 prisonniers ont entamé une grève de la faim illimitée le 22 Avril dont 25 appartiennent au Front populaire et le reste sont des prisonniers du Hamas ce qui a conduit l’administration pénitentiaire à les transférer les opprimer et les forcer à être fouillés à nu.

D’autre part il a révélé que les prisonniers opprimés vivent des conditions très difficiles qui consistent à en mettre 9 dans une chambre qui ne peut recevoir que 6 personnes ce qui oblige 3 d’entre eux à dormir par terre.

Le Centre a également expliqué que ces procédures sont venues sous la rumeur de l’administration pénitentiaire prétendant que les prisonniers grévistes mangent en allant à la clinique pour l’examen médical quotidien ce qui a été démenti par les prisonniers tout en confirmant qu’elles ne sont que  des rumeurs pour briser leur volonté les décourager et contrecarrer leur grève.

El-Khafach a également déclaré que l’administration pénitentiaire de Majdou et à travers l’officier supérieur à l’administration et expert dans les affaires de négociation avec le mouvement des captifs; Dr Biton a demandé aux prisonniers d’arrêter la grève pendant une semaine afin d’améliorer les conditions de la prison.

Dans un contexte lié l’administration pénitentiaire de Majdou a menacé d’annuler la représentation des détenus de ne plus accepter les cadres réglementaires et de traiter avec les prisonniers chacun tout seul ce qu’avait réfuté complètement le mouvement des captifs.

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