Fri 2-May-2025

Les factions palestiniennes appellent à un soulèvement populaire afin de soutenir les prisonniers

mardi 24-avril-2012

  Les forces nationales et islamiques viennent de finir une réunion qui s’est déroulée cet après-midi à la ville de Gaza dans l’un des bureaux du mouvement du Jihad Islamique en Palestine au sujet de la bataille des intestins vides(grève de la faim illimitée) menée par les prisonniers courageux dans les geôles de l’ennemi occupant israélien.

Les forces nationales et islamiques ont révélé leurs salutations et gratitudes envers les prisonniers et les prisonnières dans les geôles de l’occupation et elles ont exprimé leur fierté de leur fermeté et volonté face aux bourreaux occupants notamment les gêoliers.

Dans un communiqué les forces Nationales et Islamiques ont appelé le peuple palestinien partout dans le monde entier à organiser des marches des sit-in et des festivités populaires en solidarité avec les prisonniers afin de soutenir leurs justes revendications tout en invitant toutes les ambassades les missions et les communautés palestiniennes à agir en urgence pour la solidarité des prisonniers et de leurs exigences légitimes.

D’autre part les dirigeants palestiniens ont décidé de constituer un comité ayant pour objectif de suivre les développements de cette étape et de coordonner avec le Comité des prisonniers pour élaborer un programme complet de solidarité avec les détenus.

Les factions palestiniennes ont également appelé toutes les institutions arabo-islamiques telles que la Ligue Arabe et l’Organisation de la Conférence Islamique ainsi que les institutions internationales; l’ONU et les Organisations humanitaires; en particulier la Croix-Rouge Internationale à intervenir en mettant de la pression sur l’occupation afin d’alléger la souffrance des prisonniers jusqu’à ce qu’ils soient libérés.

D’un autre côté les forces nationales et islamiques ont révélé que l’occupation israélienne porte l’entière responsabilité de la vie des prisonniers en confirmant qu’elles ne laisseront jamais leurs enfants d’être en proie aux pratiques de l’occupation.

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