Fathi Hammad ministre de la Sécurité intérieure et nationale a affirmé que le gouvernement s’intéresse beaucoup à la question des prisonniers palestiniens que ce soit ceux qui souffrent encore dans les geôles sionistes ou ceux t libérés d’un grand intérêt.
« Malgré la libération d’un grand nombre de prisonniers dans l’opération d’échange « Fidélités des libres » mais un grand nombre de détenus condamnés à langues et dures peines souffrent dans les geôles de l’occupation israélienne ainsi que certains d’autres prisonniers souffrent extrêmement dans les prisons des agents sécuritaires de l’occupation en Cisjordanie et les deux bourreaux détiennent les Palestiniens sur le même motif interdiction de la lutte nationale » a déclaré Hammad lors d’une réunion le mardi 21/2 avec la délégation de Jordaniens en solidarité avec les prisonniers dirigée par l’ancien député Ali Abou Soukkar .
La délégation qui a rencontré le ministre de l’Intérieur et un certain nombre de dirigeants et responsables de la sécurité à la nuit de lundi dans l’Halte d’el-Houda sur la rive de la mer de Gaza est composée de Hajj Ghalib Barghouti qui est le père du prisonnier Abdullah Barghouti et Amina Abou Saeda qui est la mère du détenu Mor’i Abou Saeda et un certain nombre de prisonniers libérés Jordaniens et Palestiniens qui s’occupent de la question des prisonniers dans les geôles de l’ennemi occupant israélien.
Le ministre a attiré l’attention à la souffrance des prisonniers dans les geôles de l’occupation affirmant que l’ennemi occupant ne comprend que le langage de la force faisant allusion à l’échange de prisonniers à l’encontre du soldat capturé par la résistance nationale Gilad Shalit insistant que son enlèvement n’était pas unique indiquant au kidnappage d’autres soldats sionistes comme Nachshon Vaksmon Eli Sasson exhortant les résistants à assumer leurs responsabilités pour soulager les souffrances des détenus palestiniens par d’autres opérations similaires de kidnappage de soldats occupants sionistes.
Hammad a expliqué que l’Islam a insisté sur la nécessité pour la libération des prisonniers qui est l’un des plus grands devoirs de l’Islam confirmant qu’il faut un soutien financier moral et politique à la question des prisonniers.
Le ministre de l’Intérieur jordanien a discuté de la tragédie des détenus libérés ceux exilés de leurs terres dans les pays arabes et islamiques ou vivant dans la Cisjordanie occupée tout en soulignant: « nos fils libérés souffrent en Cisjordanie de la convocation et le droit de circulation entre d’une ville à autre dans la Cisjordanie occupée ».
« Nous devrions travailler sur le retour des ex-détenus et de les faire retourner à leur patrie faciliter leur vie» a ajouté Hamad en soulignant qu’ils ont besoin d’être soutenus afin d’être mariés d’obtenir une fonction et un emploie a-t-il poursuivi.
À son tour l’ingénieur Abou Soukkar a salué le ministre et les efforts du ministère de l’intérieur en faveur de la stabilité et la sécurité du secteur assiégé il y a plus de ans consécutif par l’occupation israélienne qui viole plus que jamais le droit humanitaire et les règles et conventions internationales et qui a assassiné l’ancien héros ministre Said Siam durant la guerre sauvage sur Gaza baptisée « Plomb durci » et qui a fait 1500 martyrs et plus de 5000 palestiniens blessés différemment en utilisant des armes interdites dont le phosphore blanc.
Soukkar s’est félicité également de la volonté des Palestiniens qui ont libéré la bande de Gaza confirmant le soutien jordanien à la question des prisonniers et indiquant que d’autres opérations d’enlèvement de soldats sionistes contribueront également à la libération des héros détenus.
En effet il a conclu : « Au cours de notre visite à la tente de solidarité avec le dirigeant gréviste il y a plus de 66 jours Khader Adnan nous avons confirmé que ce langage est bien respecté par la communauté internationale ( à l’égard de la grève de la faim ) mais lorsque la question touche l’entité sioniste la communauté internationale et la conscience humanitaire ferment les oreilles et s’enferment dans le silence faisant allusion qu’il faut réagir pour sauver la vie du prisonnier gréviste en détérioration et ses amis détenus ».
