Les territoires palestiniens occupés en 1948 étaient le lieu lundi 16/1 d’une grève générale impliquant toutes les grandes villes les autorités locales et les installations vitales pour protester contre les décisions et les actions du gouvernement de Benjamin Netanyahu et rejeter une série de lois qui portent préjudice au revenu national sioniste selon les organisateurs de la grève.
Selon les informations diffusées par la radio hébreu lundi 16/1 la grève qui a commencé ce matin devrait comprendre la suspension de tous les services éducatifs et municipaux et les services vitaux à l’intérieur de l’Etat juif.
Les chefs des autorités locales sionistes protestent contre l’intention du gouvernement de Netanyahu d’introduire des lois qui réduiront significativement le revenu de ces autorités surtout en matière de frais de perception fiscale les « impôts locaux » qui seront réduits tandis qu’ils empêcheront les chefs des autorités locales de recevoir les dons financiers de toute partie.
De son côté le journal sioniste « Yediot Aharonot » a estimé sur son site Web que l’escalade de protestations sociales et la prétendue « crise des Haredim (les juifs ultra-orthodoxes) » représentent un nouveau défi pour le gouvernement sioniste et pose de grandes interrogations sur la composition du tissu social de l’Etat juif.
Il est à noter que les groupes de juifs Haredim poursuivent l’escalade de leur mouvement de pression pour l’introduction des lois extrémistes selon les valeurs extrêmistes qu’ils imposent.
