Le ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davut oglu a confirmé que son pays ne se retirait pas de la Commission internationale formée par le Conseil des droits de l’homme appartenant à l’ONU pour enquêter à l’attaque sioniste sur la Flottille de la Liberté perpétrée dans les eaux internationaux le 31 mai 2010 et qu’il continuera ses efforts pour criminaliser l’occupation pour le massacre commis contre le bateau « Mavi Marmara » en tuant 9 militants turcs et blessant des dizaines d’autres.
Davutoglu a mis en garde contre les conséquences de ses attaques sionistes sur « La Flottille de la Liberté 2″ qui sera aller à la Bande de Gaza le mois prochain pour briser le sévère blocus imposé contre le secteur depuis environ 5 ans consécutifs.
Dans des déclarations télévisées le ministre turc des affaires étrangères a dit le mardi 17 que la seule façon de reprendre les relations entre les deux côtés est la reconnaissance de l’occupation sioniste d’avoir commis un crime lorsqu’elle a attaqué la « Flottille de la Liberté » et l’indemnisation des familles des victimes et des blessés.
Il a précisé qu’Ankara n’accepterait pas de transformer le travail du comité qui comprend la Turquie et l’entité sioniste à une crise politique et non pas une violation très flagrante du droit internationale mettant en garde que telle démarche ébranlera la confiance à l’ONU.
