Les autorités de l’occupation sionistes ont intensifié leurs mesures oppressives contre les enfants palestiniens depuis le début de l’Intifada d’al-Aqsa en septembre 2000 et à travers de multiples formes où les forces de l’occupation sionistes ont arrêté des milliers d’enfants palestiniens et les jetés dans les prisons sionistes dans des conditions de vie et humaines très difficiles dans un pas de dissuasion sans précédente où le nombre des enfants arrêtés et qui ont moins de 18 ans a atteint un taux le plus élevé parmi les détenus au cours de l’actuelle Intifada d’al-Aqsa.
Les autorités occupantes violent solennellement les droits légaux des enfants qu’elles incacèrent et les privent en violation claire des lois et les conventions internationales qui garantissent leur droit à la liberté et des procès équitables pour eux.
« L’Organisation de la solidarité internationale pour les droits de l’homme » a déclaré qu’elle possède des informations que de grandes nombres d’enfants détenus se sont exposés ou s’exposent encore aux tortures par les soldats sionistes lors des opérations d’arrestation dans lesquelles participent toujours des unités spéciales des Arabisants (Soldats sionistes portant des vêtements arabes) comme c’était le cas dans le village de Selwan dans la ville occupée d’al-Qods où les soldats sionistes frappaient les enfants sauvagement en plus l’utilisation de la torture et la pression psychologique d’une manière plus large pendants les périodes d’enquêtes contre les enfants détenus ce qui a exigé le transfert d’un certain nombre d’entre eux aux hôpitaux sionistes.
L’Organisation a attiré l’attention aux méthodes brutales que subissent les enfants emprisonés des coup sans discernement sur toutes les parties du corps les harcèlements sexuels et les menaces répétées d’allonger leur durée d’enquête ainsi que d’autres méthodes criminelles y compris la privation de leur droit à rencontrer des avocats en plus de plusieurs violations perpétuelles et délibérées.
« Le silence de l’administration pénitentiaire sioniste au fil des années face aux violations répétées a conduit à la croissance de ces violations par les soldats ce qui a incité les prisonniers palestiniens à la nécessité de défendre les enfants détenus et à annoncer un certain nombre de mesures de protestation y compris l’annonce des grèves de la faim d’alerte dans la prison d’Ashkelon Hadarim Nafha et Chata ce qui suggère que le titre de la prochaine bataille entre le mouvement des prisonniers et l’administration pénitentiaire sera l’amélioration des situations des enfants palestiniens qui souffrent extrêmement dans les geôles sionistes.
Dans le cadre de la guerre annoncée par les forces de l’occupation sioniste contre les enfants palestiniens les tribunaux sionistes ont renforcé et élevé le niveau des jugements et condamnations prises contre les enfants pour parvenir à la peine d’emprisonnement ferme de près d’un an et demi ou plus contre tout enfant accusé d’avoir jeté des pierres alors qu’elle n’était pas que 6 mois avant l’Intifada d’al-Aqsa.
L’administration pénitentiaire prive également le droit des enfants palestiniens détenus à l’éducation et à l’achat des livres la radio et
L’Organisation de la solidarité internationale pour les droits de l’homme a confirmé que les autorités sionistes par ces violations commises contre les enfants palestiniens violent manifestement la convention des droits de l’enfant signé en 1989 et approuvée par l’entité sioniste le 4/8/1992; et toutes les normes internationales y compris des normes minimales de la justice pour mineurs de 1985 et
Le rapport a insisté que la détention des enfants entre les détenus pénaux est une violation des dispositions de l’article N° 76 de la quatrième Convention de Genève en 1949.
L’Organisation a finalement demandé le gouvernement sioniste de respecter les accords et les conventions internationales et à libérer tous immédiatement les enfants palestiniens.