« En refusant d’organiser des conférences de presse et communiqués discutant à huis clos sous des pressions et promesses auprès des parties (Palestiniens et Israéliens) Netanyahu s’attache aux appels des israéliens à poursuivre le colonialisme juste après la fin du prétendu moratoire de gel de construction (dit partiel) le 26 septembre notamment aux questions de sécurité et le négociateur palestinien de son côté aura accepté sous d’intenses pressions américaines de ne pas abandonner la table des négociations en dépit de cette continuation des constructions surnommée partielle » ont ainsi révélé les sources.
Les sources qui ont qualifié les discussions de sérieuses et difficiles ont dévoilé que pour le négociateur palestinien la question des frontières consiste sa principale cause alors que pour Netanyahu veut assurer la sécurité de son entité sioniste ajoutant que la question d’Al Qods occupée n’est pas encore sur l’ordre du jour des négociations qu’avait témoigné d’énormes divergences des deux parties
Sous la polémique de cette situation fâcheuse l’émissaire américain George Mitchell laisse cependant entendre que les deux parties vont se trouver aujourd’hui le mercredi à Al Qods occupée pour continuer leurs discutions marquant un succès américain d’avoir évité la rupture de ces pourparlers directes qui viennent en violation de la volonté libre et du désir majoritaire des grandes factions palestiniennes malgré qu’elles ont mis en garde toute reprise des négociations via un ex-président palestinien faible et inapte de protéger les droits et principes suprêmes de la nation.