Le Quotidien britannique The Independent a souligné le vendredi 7/5) qu’après sept ans du meurtre de l’activiste américaine Rachel Corrie écrasée par un bulldozer de l’armée israélienne dans la Bande de Gaza de nouvelles données contre le commandant militaire sioniste à Gaza durant cette époque pour tenter de tromper les enquêtes officielles sur l’incident mortel.
The Independent a ajouté : « Que l’intervention du général sioniste Doron Almog qui dirigeait la soi-disant armée de leadership sioniste Sud a été enregistrée dans le témoignage obtenu par la police militaire sionisme durant la 2ème journée de la mort de Corrie le 16 mars 2003 après que le journal britannique a examiné le témoignage sous serment concernant ce dossier ».
L’enquêteur de la police a inscrit comme suit : « A 18h12 le colonel de réserve Baruch Kerhato est entré dans la chambre d’enquête en disant au témoin qu’il ne faut pas faire de témoignage ni rien écrire et que ces ordres viennent du général et commandant du Commandement Sud ».
De sa part l’avocat de la famille de Corrie Saïd Hussein Abou Hussein a confirmé que l’intervention du général « Almog a empêché la possibilité de parvenir à des preuves qui pourraient déterminer la vérité sur les déclarations de Valermov s’il a vu Corrie ou non.
Il a ajouté : « Dois-je le croire? Bien sûr que non car il n’y a aucun doute que l’incident du meurtre était délibérément et nous disons premièrement que l’État de l’occupation est responsable de la mort de Corrie et que l’enquête n’avait pas respecté les règles de l’enquête ».