Netanyahu a échoué à séduire le parti centriste Kadima dirigé par la ministre sortante des Affaires étrangères Tzipi Livni pour participer au gouvernement de coalition alors qu’il s’appuie sur le parti ultranationaliste laïc Israël Beiteinou et d’autres formations religieuses sionistes.
Le dirigeant extrémiste sioniste Netanyahu dispose d’une majorité de 66 députés sur 120 grâce aux 27 sièges de son parti ainsi de 15 sièges d’Israël Beiteinou en plus des 13 élus du parti travailliste et 11du parti ultra-orthodoxe Shass.
Malgré ses opposants travaillistes Barak a justifié sa position par l’intérêt suprême de l’Etat sioniste confronté à de graves problèmes économiques et sécuritaires en confirmant qu’il veut créer un équilibre face à l’extrême droite qui a déjà signé un accord avec l’extrémiste Netanyahu.
De leurs part des observateurs très préoccupés par la situation critique au Moyen-Orient ont exprimé leurs inquiétudes envers le prochain gouvernement sioniste présidé par Netanyahu qui est déjà connu par son hostilité à la création d’un Etat palestinien souverain au moment où la colonisation et le judaïsme se poursuivent de façon sans précédant en Cisjordanie et à Al Qods occupée.
