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De Hauts dirigeants américains appellent au dialogue avec le Hamas

dimanche 15-mars-2009

« Je ne vois aucune raison de ne pas s’engager dans un dialogue avec le Hamas » a rapporté l’un des célèbres journaux  américains « Boston Globe » du dirigeant américain Scowcroft qui était le conseiller d’Obama lors de sa campagne électorale.

Scowcroft a ajouté selon le journal : « le plus important est que nous voulons pousser fortement le processus de paix et les Etats-Unis doivent avoir une position à propos de ce sujet ». 

Le journal américain Boston a révélé dans son édition de samedi 14/3 qu’une lettre a été envoyée par certains leaders américains et à leur tête le conseiller d’Obama chargé des affaires économiques Paul Walker ainsi que le conseiller de la sécurité nationale dans l’administration de Bush père Brent Scowcroft en l’appelant à la nécessité de contacter le Hamas.

Le Journal Boston a indiqué qu’il existe aussi parmi ce groupe le conseiller de la sécurité nationale de l’ancien président Jimmy Carter « Zabgyneev Bajinski » et l’ancien ambassadeur auprès de l’Organisation des Nations Unies et l’entité sioniste « Thomas Vkering » ainsi que l’ex-président de la Banque mondiale James Wolfensohn qui a été envoyé comme l’émissaire spécial au Moyen-Orient.
 
Le journal « Boston Globe » a souligné également que le dirigeant américain « Scowcroft » avait personnellement conseillé l’administration d’Obama d’ouvrir un dialogue direct avec le Hamas mais après avoir été nommé officiellement comme président des Etats-Unis Obama n’a pas voulu modifier la politique américaine envers le Hamas.

Il a montré qu’Obama est avec la précédente position de l’administration américaine dont les conditions exigées par l’entité sioniste et du Quartette et à leur tête la reconnaissance de l’occupation israélienne et les accords signés avec l’OLP et surtout de renoncer au terrorisme (la résistance nationale palestinienne).

« Obama a exprimé son attitude directement envers le « Hamas »  lorsqu’on lui a posé la question : « pourquoi est- il prêt de discuter avec des états hostiles comme l’Iran et néglige le dialogue avec le Hamas? Il a répondu : « on parle d’une organisation terroriste et non d’un état » a rapporté le journal selon Obama.

Le Journal a souligné que cette politique a reçu des encouragements ainsi que le soutien de la ministre américaine des affaires étrangères « Hillary Clinton » et le conseiller de la sécurité nationale le général « Jim Jones » qui était le conseiller spécial du président Bush au Moyen-Orient.

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