Le bloc du journaliste palestinien a enregistré dans son rapport mensuel que le mois de mars était le plus pire dans l’histoire de l’information palestinienne car les médias palestiniens ont été violement frappés par les pratiques criminelles de l’occupation et des services sécuritaires d’Abbas à Ramallah.
Le bloc a appelé à l’arrêt immédiat de toutes les arrestations et enlèvements contre les journalistes en exigeant la libération des deux journalistes Moussaab Katalouni et Tarik Chihab qui souffrent dans les prisons des services de renseignements d’Abbas.
Le bloc a condamné fortement la continuation des pratiques criminelles injustes et illégales contre les journalistes en appelant à l’amélioration de la situation et des circonstances de travail des journalistes pour qu’ils puissent exercer leurs missions et devoirs médiatiques notamment pour couvrir les festivals et les manifestations en Cisjordanie et dans la bande de Gaza ainsi que la réélection du conseil syndical des journaliste tout en affirmant que le conseil actuel est illégal.
Ce bloc a appelé le secrétaire de l’union des journalistes internationaux (Aydin White) et l’union des journalistes arabes les représentants de l’organisation internationale » journalistes sans frontières » à rendre visite à Gaza et la Cisjordanie pour démasquer les violations perpétrées contre les journalistes.
Il a exhorté les institutions et les organisations internationales qui s’occupent de la liberté d’expression et des droits de l’homme à intervenir immédiatement pour libérer les sept journalistes palestiniens emprisonnés dans les prisons de l’occupation et qui ont passé plus de 6 ans ainsi que les autres journalistes incarcérés jusqu’à maintenant et illégalement dans des centres de détentions administratives.
Le bloc du journaliste palestinien a fini son rapport en soulignant que les services sécuritaires d’Abbas en Cisjordanie empêchent la publication du journal quotidien « La Palestine » et le journal « Al Ressala » en plus de l’interdisant de la radio et la Chaîne d’Al Aqsa après avoir fermé ses bureaux par la force pour empêcher toute personnalité patriotique de diffuser des missions télévisées en Cisjordanie.
