Ramallah – CPI
Cette année l’Aïd en Cisjordanie a eu un goût différent amer. La vie de tous les jours devient de plus en plus difficile.
En effet durant les jours de l’Aïd la fête de la fin du mois béni de Ramadan les difficultés économiques règnent. Si les bourses moyennes en souffrent énormément les bourses faibles et vides encore plus logique.
Il est vrai que la politique du siège et de la privation économique pratiquée par l’occupation israélienne y sont pour grand chose. Mais la fermeture par le « gouvernement » illégal de Fayyad d’associations de bienfaisance ne vient pas pour arranger la situation.
Les jours de fête et ses achats ont montré aux Palestiniens de la Cisjordanie combien leurs bourses souffrent du siège économique imposé par l’occupation israélienne du chômage de l’état déplorable de leur économie. La décision de l’autorité palestinienne de fermer lesdites associations qui participaient tant bien que mal à alléger la pression d’une vie de tout Palestinien de plus en plus difficile ne fait qu’accroître cette souffrance.
Le « panier alimentaire » offert par de telles associations désormais interdit n’est qu’un seul exemple de ces aides aux familles nécessiteuses. Il comportait du riz de la farine du sucre différents éléments dont toute famille ne peut se passer.
