L’association d’Ansar Al-Sajeen des solidaires à la cause des prisonniers a averti dans un communiqué dont le Centre Palestinien d’Information a reçu une copie que cinquante-huit Palestiniennes ont été l’objet d’agression dans la prison de Talmonde-Hasharon hier après-midi.
Dans cette agression environ dix captives ont eu différentes entorses et des fractures suite à des frappes de bâtons par les gardiens sionistes de la prison. Plusieurs captives se sont aussi évanouies à cause de bombes lacrymogènes.
Le communiqué ajoute : « Les événements ont pris feu lorsque l’administration de la prison avait envahi les cellules des captives sous prétextes d’une inspection. Cela reflète le non respect de l’accord signé après la grève ouverte pratiquée au mois d’août dernier et qui a duré environ dix-neuf jours.
Les gardiens ont exigé des captives d’être torse nu pour un contrôle de la partie supérieure du corps. Bien évidemment les captives ont refusé cette exigence.
Les bourreaux les ont agressées par de dures frappes et par la pulvérisation de leurs cellules par des gaz lacrymogènes.
Puis l’administration de la prison a déclaré l’état de siège et a enfermé huit captives blessées dans des cellules individuelles sans leur donner les soins nécessaires. »
L’association d’Ansar Al-Sajeen des solidaires à la cause des prisonniers a apporté la totale responsabilité à l’administration de la prison de Talmonde des évènements qui se sont produits dans la prison notamment que la politique d’agression est en recrudescence contre les captifs palestiniens.
L’association souligne que les conditions sanitaires sont très mauvaises dans les prisons sionistes. En effet l’administration des prisons se lave les mains de tous les accords et les droits légaux adaptés par les conventions internationales.
