L’organisation israélienne « Volontaires pour les droits de l’homme (Yesh Din) » dans un rapport a énuméré les agressions menées par les groupes extrémistes et terroristes de « Payer le prix ». En moins d’une année ils ont pratiqué 132 agressions contre les Palestiniens.
Agressions de toutes sortes
Le rapport détaille les agressions menées par ces groupes terroristes. 28 incendies. 77 opérations de terrorisme collectif : attaque d’agriculteurs de biens agricoles de plantes et d’arbres. 41 agressions physiques contre des Palestiniens.
La police a classé 47 cas dont 39 ont été classés sous ce prétexte : « le suspect est inconnu ». Cela montre que la police n’a pas la capacité de localiser les suspects. Dans quatre cas les dossiers ont été classés pour « manque de preuves ». Ainsi 88% des dossiers sont classés à cause de l’incapacité de la police de la zone. Ces chiffres ne sont une surprise pour personne.
Des chiffres manquants
Ce nombre de 132 avancé par l’organisation de Yesh Din n’est pas exhaustif. Il ne concerne pas tous les incidents surtout les insultes les invasions de terrains palestiniens le jet des poubelles.
Des civils israéliens ont aussi commis des crimes « idéologiques » contre les Palestiniens dans la période du mois de mai 2013 au mois d’avril 2014. Dans treize cas des slogans ont été marqués sur les murs de la région. Par exemple des slogans ont été écrits sur une maison du village de Sinjil une maison incendiée deux mois auparavant.
Dans le même contexte l’organisation a insisté à dire que la plupart des attaques se font contre les personnes et contre leurs biens. Et même lorsque les agresseurs écrivent sur les murs il y a des incendies souvent dans des maisons habitées. De telles attaques on peut les classer comme des actes terroristes.
Appréhension de l’agriculture
L’organisation de Yesh Din a compté 28 incendies dont un fait dans un poulailler causant la mort de milliers de poussins. Il y a aussi des incendies qui ne sont pas accompagnés de slogans sur les murs.
La plupart des « crimes idéologiques » commis par des Israéliens peuvent être qualifiés de terrorisme agricole : agressions contre des agriculteurs contre des biens agricoles des arbres. 77 cas ont été enregistrés. Le but de ces attaques est de dire aux Palestiniens que travailler leur terre ne sert à rien qu’ils doivent quitter leurs terres. « Cette tactique a auparavant donné ses résultats » dit l’organisation.
Dans 41 cas plus du quart des incidents le crime est l’agression contre des Palestiniens accompagné souvent par une attaque contre les biens.
