Des données juridiques palestiniennes ont confirmé l’escalade des violations israéliennes contre le citoyens palestiniens dans la ville occupée de Jérusalem en Mars dernier durant lequel les autorités israéliennes ont poursuivi leurs attaques contre les citoyens leurs biens et lieux saints.
Le centre d’informations de Wadi Hilweh dans le village de Silwan au sud de la Mosquée bénie d’al-Aqsa a déclaré Mardi 8/4 que l’occupation israélienne poursuit les violations dans la mosquée bénie d’al-Aqsa. En effet elle a été envahie par plus de 1250 extrémistes soldats israéliens et des étudiants juifs qui ont effectué des tournées dans ses esplanades et les établissements tandis que certains d’entre eux ont tenté d’accomplir leurs rituels talmudiques dans certains lieux à el-Aqsa mais les gardiens leur ont fait face.
Le centre a déclaré qu’il a y parmi les colons qui ont envahi el-Aqsa le ministre israélien de l’habitat Uri Ariel et le vice-président de la Knesset Moshe Fijlin en plus du rabbin extrémiste Yahuda Galeck qui a dirigé l’invasion de plusieurs groupes dans el-Aqsa.
Il a souligné que les autorités de l’occupant israélien ont expulsé 20 Palestiniens d’al-Aqsa pour différentes périodes dont 4 femmes et deux enfants.
Le centre a également enregistré l’arrestation de 120 Jérusalémites en Mars dernier dont 40 mineurs qui ont entre 13 et 17 ans.
La police israélienne a violé les droits internationaux liés aux arrestations via la mise en œuvre des détentions et les gardes à vue des détenus dont elle a envahi les maisons à l’aube ou les arrête dans les rues de Jérusalem ou dans les esplanades d’el-Aqsa sans informer leurs familles selon le centre.
Le centre de Wadi Helwah a démontré que les enquêteurs dans tous les centres de l’arrestation et l’enquête dans la ville de Jérusalem ont interrogé les enfants sans la présence de leurs parents selon les lois.
Les forces armées occupantes ont également kidnappé quatre femmes jérusalémites lors de la tentative d’entrer dans la mosquée sainte d’el-Aqsa et aussi cinq avocats sous prétexte du transfert des argents et des messages au mouvement du Djhad islamique et le Djihad islamique.