Sat 10-May-2025

Le retrait sioniste un an après Gaza devient la prison la plus grande du monde

lundi 5-février-2007

Gaza – CPI


Le 12 septembre de l’année dernière 2005 les forces de l’occupation avaient terminé leur retrait des huit colonies sionistes répandues dans la bande de Gaza. A l’aube de ce jour-là des citoyens de la Bande y sont entrés individuellement et en groupe. Ils souhaitaient revoir leur terre après 38 ans d’occupation.

Ce retrait est très certainement arrivé en conséquence d’une longue et perpétuelle résistance commencée le jour de la Nakba le Catastrophe de 1948 et même avant. L’accumulation des révoltes et révolutions a procréé l’Intifada d’Al-Aqsa en autonome 2000. Dès ce moment la résistance palestinienne a pris une autre tournure est devenue plus forte. Sa base est devenue plus vaste.

Le retrait sioniste de la bande de Gaza a été effectué du 15 août au 12 septembre 2005 le jour où le dernier soldat israélien a quitté la terre de la Bande. Avant ce retrait quelque 8500 colons s’y étaient installés. Ils constituaient 25% du nombre de colons installés abusivement dans les territoires palestiniens occupés – la Cisjordanie dont la ville occupée d’Al-Quds (Jérusalem) et la bande de Gaza.


Le retrait contre un état de siège

Les forces occupantes en collaboration avec l’Administration américaine et avec certains occidentaux ont fait l’impossible pour vider la victoire réalisée par la résistance palestinienne dans la bande de Gaza de tout sens. Par un injuste état de siège. Cet enfermement a été surtout renforcé après les élections législatives palestiniennes du 25 janvier de cette année 2006 dans lesquelles le mouvement de la résistance islamique « Hamas » avait obtenu la majorité avec plus de 60% des sièges du Conseil législatif. Dès ce jour-là les forces de l’occupation ont renforcé leurs opérations terroristes des bombardements terrestres ou aériens contre les groupes résidentiels et les infrastructures de la Bande.

Cet état de siège occidental et sioniste perpétuel imposé sur les habitants de la Bande les avaient précipités vers le gouffre d’une réelle famine. Cette famine des établissements juridiques et humanitaires l’ont crainte encore plus grave que celles du continent noir !


Espoir bafoué

Le jour du retrait sioniste les gens avaient parcouru la terre les fermes et les routes abandonnées par le diable. Ils ont souhaité que la verdure règne sur toute la Bande. Pourtant un an après c’est la destruction qui s’est partout répandue. Les habitants de Gaza ont eu la misère pas la verdure !

Et aujourd’hui ils crient au secours : sauvez nous de ce siège affreux. Ils n’ont pour réponse que des massacres perpétrés contre leurs enfants. Gaza est aujourd’hui isolé davantage sans aucun soutien.

L’occupant s’est retiré de la cage mais en ajoutant plus de cadenas sur ses portes. Plus de chiens de garde partout dans l’air la terre et la mer. Ces chiens toussent le feu brûlant tout.


Pourquoi ?

L’occupant a eu plusieurs objectifs de son retrait de la Bande : fuir la résistance de plus en plus forte retirer les colonies dont le contrôle et la sécurité étaient devenus trop coûteux. Il a surtout voulu laisser tomber ses responsabilités comme étant une force d’occupation.

Le gouvernement sioniste a aussi eu l’intention de jeter le feu d’une agitation intérieure à Gaza en utilisant ses traîtres.

Et en contrepartie il a voulu légitimer le renforcement de la colonisation en Cisjordanie et de la ville occupée d’Al-Quds.


Objectif non réalisé

Un an après l’occupation a réussi à réaliser quelques-uns de ses objectifs. Néanmoins elle a échoué à en réaliser d’autres. Elle a renforcé l’état de siège a mis en échec toute tentative destinée à tirer profit des territoires libérés a consolidé la congestion intérieure. L’occupation a cependant échoué à réduire la résistance palestinienne et son échine : le mouvement de la résistance islamique « Hamas ».


Que des martyrs et des sangs !

Dans la bande de Gaza la cascade de sang continue à affluer. Et les caravanes de martyrs s’agrandissent davantage : 362 martyrs palestiniens dans la Bande depuis le jour du retrait.

A l’horizon de la bande de Gaza on ne voit que la couleur rouge prédisant de nouveaux évènements.

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