Bethléem – CPI
Imane Alhams qui devait avoir 13 ans le printemps prochain et parce qu’elle pensait qu’elle était encore trop jeune pour risquer sa vie en sortant dehors ne s’est pas protégée de l’horreur du terrorisme sioniste et en a été victime… Elle a pris l’argent et est sortie de la maison pour faire des courses d’une épicerie du quartier où elle réside dans la ville de Rafah à quelques centaines de mètres de sa demeure.
Mais sur cette route qui allait lui être fatale une troupe militaire du nom de « jafati » connue comme étant une troupe terroriste sioniste qui contrôlait cette région faisait sa ronde composée d’hommes assoiffés de sang parmi tous les soldats de l’état occupant sioniste. Cette troupe attendait que le moindre signe de présence soit détecté pour attaquer traquant les moindres signes et signaux sur leurs appareils de détection capables de voir derrière les murs dans les chambres sur les toits ou même de capter tout signal en provenance de longs chemins de la ville. Et vous pouvez imaginer si un enfant se présente pour s’amuser dans le jardin ou jouer dehors quelle fin ou quel sort pourra lui arriver ?
La jeune fille Imane est à peine sortie de sa maison après quelques pas seulement que des feux d’armes lourdes s’ouvrent intensivement sur cette innocente fillette. L’enfant sans défense est tué par des soldats qui n’ont ni foi ni loi comme si leur but était une milice résistante détectée et non un enfant innocent sans défense.
Cette petite fille innocente a était lâchement assassinée par un officier sioniste qui s’est approché d’elle alors qu’elle gémissait par terre suite à ses blessures et d’une atrocité inimaginable et inhumaine ce criminel sioniste qui était en compagnie d’un groupe de soldats a ouvert le feu de sa mitrailleuse d’une distance de deux mètres en vidant son chargeur (20 balles) sur le corps de la petite fille qui a rendu son âme. Le plus pire c’est que cet assassin officier sioniste qui a tué l’enfant Imane avec sang froid ne regrette plus son acte criminel. Dans une longue interview avec le journal sioniste « Maariv » il a répété qu’il n’éprouve aucun remord ou chagrin ! Et qu’il n’est pas en défaut en tuant cette fillette. D’après lui il n’a pas désobéi aux ordres tout en ajoutant que : « si le cas se présente une deuxième fois il n’hésitera pas à faire de même et même si cette fille n’avait que trois ans seulement ».
Hors cet officier criminel dont le nom n’a pas été signalé prétend qu’il était victime d’un complot de certains de ses camarades qui l’ont dénoncé et témoigné contre lui pour la simple raison qu’il est d’origine druze et non juif.
L’assassinat d’un enfant palestinien selon la loi sioniste
Un tribunal sioniste a jugé cet officier d’innocent et l’a libéré par manque de preuves contre lui (alors qu’il fait partie du groupe raciste
« jafati » qui a commis de nombreux actes terroristes). Il a été rendu donc innocent des crimes dont il a était accusé le 15 Novembre dernier. Selon la liste des accusations portées contre lui et les preuves qui se trouvent dans son dossier d’accusation il paraît évident qu’il est le seul à avoir tuer la fillette Iman.
Ce qui a été révélé au cours de ce procès c’est que les soldats de l’armée sioniste occupante qui occupaient le poste de surveillance militaire ce jour-là ont remarqué la présence d’un individu douteux dans le secteur près de cent mètres de leur position. Ils ont alors tiré sur l’individu suspect sans chercher à savoir si c’était réellement une personne dangereuse ou pas. Cet « individu suspect » a été touché et tombé par terre; malgré cela les sirènes ont donné l’alarme dans tout le secteur.
Cet « individu suspect » n’était en fait que la petite fille Imane Alhams qui s’est écroulée après les coups de feu tirés sur elle. Mais selon le dossier d’accusation porté contre cet officier ce dernier s’est dirigé en compagnie de ses hommes vers le corps jeté à terre et à quelques mètres seulement ils ont ouvert le feu sur Imane qui gémissait encore. L’officier a décidé de s’approcher encore plus et à une distance très proche de la jeune fille il a armé son arme automatique en l’a pointant sur elle puis a vidé froidement son chargeur dans son corps.
Par la suite un rapport médical palestinien a montré que le corps de la petite fillette Imane a reçu 20 balles après qu’elle ait été touchée par les premières balles. Sa famille a certifié que la fillette était sortie pour acheter quelques affaires et qu’elle prenait toujours ce chemin qui ne menait qu’au marché.
Des témoignages
L’assassinat d’une fillette de 13 ans a suscité une vague polémique dans les journaux hébreu. Dans sa parution hebdomadaire du Vendredi 15 octobre 2004 le journal hébreu « yedioth ahranoth » a publié des témoignages des soldats qui étaient sur les lieux du crime et qui ont tout vu. Ce sont ces témoignages qui ont engagé le recours à la justice sioniste sinon la mort de la jeune fille serait passée inaperçue. L’un des soldats qui était de garde cette nuit a affirmé à cette revue : « qu’ils ont défiguré le cadavre de la jeune fille. C’était pareil à une exécution capitale sans jugement. Il a apporté en disant : « tout ce que je me rappelle c’est que cela est arrivé durant les premières heures du matin lorsque l’un des gardes avait alerté la troupe de la présence d’une petite fille qui dès qu’elle a entendu des coups de feu tirés vers elle je l’ai vu courir en s’enfuyant du lieu. L’alarme a été lancée alors dans tout le camp et un état d’alerte a été ordonné. J’étais certain qu’il s’agissait d’une fillette de 10 ou 12 ans et j’ai informé cela directement à travers un téléphone sans-fil. Un contact a été établi avec l’officier de notre section qui est alors sorti avec quelques soldats ».
Le garde a témoigné en contredisant les propos de ses supérieurs qui ont affirmé qu’ils ont été informés de la présence d’un individu dangereux; alors qu’il assure les avoir informés de la présence d’une fillette. Il ajoute : « dès que la nouvelle s’est répandu chez les officiers ils ont lancé un état d’alerte dans tout le site. L’un des gardes s’est précipité à tirer une balle sur la fillette qui s’est écroulée. A ce moment ils ont ouvert le feu vers elle de tous les côtés. Notre officier l’a attaqué en tirant vers elle plusieurs balles puis s’est retiré. Il est revenu une deuxième fois et a tiré une salve de balle d’une arme automatique tout en s’assurant une deuxième fois qu’elle était morte.
Un autre soldat a témoigné au même journal que : « la fillette Imane s’est enfuit en s’éloignant à une distance de trois cent mètres après que les premiers coups de feu tirés vers elle. Elle n’a pas été touchée au début mais les soldats ont continué leurs tirs alors qu’à cette distance elle ne présentait aucun danger pour nous ».
Il continue : « nous avons tous tiré sur la fillette jusqu’à son écroulement. Chacun de nous a prétendu l’avoir touché le premier ; et nous étions sûre qu’elle est tombée derrière un amas de terre ».
Un quatrième soldat affirme que l’officier a demandé à ses soldats de le couvrir et s’est dirigé avec un soldat de transmission en direction de la jeune fille où il s’est approché seul d’elle en lui tirant deux balles dans le corps puis s’est retiré. Il est revenu une deuxième fois après avoir consulté le soldat qui était avec lui pour vider le chargeur de son arme automatique sur le corps de l’enfant Imane. Je ne sais vraiment pas pourquoi il a fait cela tout en étant sûre qu’il s’agissait d’une petite fille».
En réponse à la question de distance à partir de laquelle l’officier a ouvert le feu sur la victime le soldat a répondu : « à environ deux mètres. Cette distance-là est considéré comme nulle ».
Le 23 Novembre les médias sionistes ont diffusé une cassette enregistrée qui contenait la scène d’horreur en montrant l’officier criminel sioniste s’approcher de la victime qui était blessée et couchée par terre et vider son chargeur dans son corps.
Le plus étrange l’enquête menée par le tribunal sioniste a innocenté le coupable du meurtre de l’enfant martyre innocent et lui a redonné ses fonctions. Il regagnera donc son poste alors même qu’il a affirmé lors du procès son intention de continuer sur ses principes. Il a en effet dit qu’il tuerait à nouveau si l’occasion se présentait de la même manière qu’il a tué cette enfant !
Officier assassin : si la fillette revenait à la vie je la tuerai à nouveau ! !
Après toutes les polémiques qu’a engendré l’assassinat de la fillette Imane le porte parole militaire sioniste de l’armée occupante a publié un communiqué aux journalistes sionistes où il affirme que les soldats ont demandé à la fille de s’arrêter mais comme elle n’a pas obéi aux ordres ils ont tiré des coups de feu d’avertissement dans le ciel.
Le procureur militaire a recommandé une enquête sur la mort de la fillette Imane après les publications du journal « yedioth ahranoth » sur ce crime. Malgré que le chef d’état major militaire sioniste Moshé Yalon a affirmé à ce moment qu’il soutenait le suppositions de l’officier qui a prétendu devant le tribunal avoir tiré autour d’elle lorsqu’il s’est approché du corps de la petite fille.
Yalon a apporté devant la commission des affaires extérieures et de la sécurité au Knesset que : « des échanges de coups de feu ont eu lieu ce matin même juste avant la mort de la jeune fille. Cela a poussé les soldats à penser que des rebelles avaient envoyé la jeune fille pour attirer leurs attention afin de leurs tendre une embuscade. Mais ces déclarations se contredisent avec les témoignages des soldats qui ont assisté l’évènement de l’assassinat et qui ont affirmé qu’aucun coup de feu n’avait été tiré ces derniers jours.
Néanmoins après une année de la mort de la petite fille Imane la prétendue justice sioniste a acquitté cet assassin qui ne s’est pas contenté de son crime mais l’a revendiqué a affirmé qu’il était prêt à assassiner cette jeune fille une nouvelle fois si elle était en vie!
La justice sioniste et « Al Aghiar » :
La justice sioniste se fout complètement des meurtres commis illégalement par les soldats ou les colons sionistes et les considèrent comme moyens de défense. Comment expliquer alors l’assassinat des enfants sans défense ainsi que l’assassinat des femmes et des personnes âgées ? Comment expliquer donc l’assassinat des gens pacifistes étrangers qui soutiennent la question Palestinienne ?
Ces crimes inexplicables sont l’œuvre de l’armée sioniste et son arme infernale. Celle-ci emploie en effet le terrorisme au vrai sens du mot et à grande échelle. Le gouvernement sioniste ne veut pas de paix malgré les déclarations vaines que font ses représentants.
Parmi les nombreux exemples qui montrent la négligence sioniste envers l’assassinat des gens appelés :« aghiars » les non – juifs la décision d’un juge militaire sioniste en avril 2005 qui a rejeté les accusations portées contre un soldat de l’occupation sioniste pour avoir assassiné le journaliste Britannique James Miller. La cour a jugé malheureusement qu’il n’y avait de preuves suffisantes « directes » dans cet assassinat. Le journaliste britannique James Miller a trouvé la mort dans la ville de Rafah en Mai 2003 alors qu’il s’entretenait avec des palestiniens dans le cadre de son métier de journaliste avant que des soldats ne l’assassinent.
Une autre affaire semblable avait éclaté en 2003 : lorsqu’un soldat sioniste avait été acquitté des accusations portées contre lui après avoir assassiné l’animatrice américaine « Rashell Corie » malgré Les faits clairs de ce meurtre. Rashell protestait contre la destruction des maisons dans la ville de Rafah depuis sa venue en Palestine…
Et comme elle tenu tête aux soldats en restant devant la maison qui allait être détruite par un bulldozer elle s’est fait lâchement écraser par le soldat chauffeur de cette engin. Cela s’est passé pendant le mois de mars 2003. Le résultat des enquêtes soit disant menées par la justice sioniste ont conclu que Rashel Corie a été tuée « alors qu’elle essayait d’arrêter l’avancée du bulldozer car ce dernier ne pouvait plus avancer normalement et qu’elle a essayé de monter sur le bulldozer ce qui a entraîné à sa mort. Le rapport conclu que « la mort de Corie est due à un amas de terre qui a été relâché par le bulldozer alors qu’elle essayait de grimper dessus ! ».
Parmi les derniers crimes sioniste ce qui s’est passé à Jénine le 3 novembre 2005 lorsque des soldats ont lâchement ouvert le feu sur l’enfant Ahmed Al khatib âgé de onze ans alors qu’il jouait avec d’autres enfantsle premier jour de l’Aïd El Fitr. L’enfant est tombé en martyre le 5 Novembre après avoir reçu deux balles dans sa tête et une autre dans son ventre. Des sources de l’armée occupante ont prétendu que l’enfant a été tué par erreur !
Les soldats ont ouvert le feu sur l’enfant après avoir aperçu l’enfant avec une mitraillette en plastique qu’ils ont cru réelle. Ces déclarations ont été démenties par le père de l’enfant qui a assuré que son enfant ne portait aucune mitraillette. Jusqu’à présent aucune nouvelle sur l’ouverture d’une enquête sérieuse et honnête concernant l’assassinat du petit enfant de la part des services sionistes.
Un autre meurtre a été commis avant qui est l’assassinat de l’enfant Adli Tantawi âgé de 13 ans et originaire du camp de réfugiés Askar à Naplouse. Ce fut le 2 octobre 2005 lorsque des soldats de l’armée sioniste occupante ont ouvert le feu sur l’enfant en le tuant sur place alors qu’il était devant sa maison sans défense. Les soldats ont dit qu’ils ont soupçonné qu’il allait leur tirer dessus alors qu’il n’avait ni arme ni objet entre les mains !
Certains croient aujourd’hui que seul le peuple Palestinien ou les peuples Arabes et musulmans sont exposés au danger sioniste alors qu’en réalité cette entité raciste porte dans ses pensées et croyances une grande haine à toute personne qui n’appartient pas à leur cercle vicieux. Ces gens là sont capables de commettre les crimes et massacres les plus affreux avec sang froid comme nous le voyons à travers les chaînes de télévision.
l’humanité est donc en vrai danger !
