Au sud de la bande de Gaza se trouvent une belle zone appelée les terrains d’Al-Moharrarat (les libérés). En effet sur ces terrains il y avait des colonies sionistes avant que les occupants se soient vus obligés de quitter la bande de Gaza. Cette zone donne l’espoir non seulement aux habitants de la Bande mais aussi à toute personne qui la visite.
C’est dans cette zone que le Qatar a installé plusieurs projets de bienfaisance. Ces projets font travailler beaucoup d’ouvriers participent à assurer une sécurité alimentaire et leurs profits vont aux nécessiteux et aux orphelins.
Notre Centre Palestinien d’Information (CPI) est passé voir la ferme qatarie de bienfaisance financée par le donateur Mohammed Abdou Al-Karim Al-Imadi et exécuté par l’association Qatar.
Des buts assurés
Nous savons que ces terrains étaient jusqu’à l’an 2005 occupés. Les Palestiniens les vrais propriétaires n’avaient pas le droit d’y entrer. Après la libération le gouvernement de la bande de Gaza a décidé de les louer aux fondations de bienfaisance dans le but de les travailler en engageant une main-d’œuvre locale dans le but de participer à assurer la sécurité alimentaire dans le but d’assurer des rentes pour les nécessiteux les orphelins les pauvres parmi les étudiants.
Selon les enseignements récoltés par la correspondante de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) dans chaque ferme de la zone travaillent 500 ouvriers avec un salaire de 300 dollars par mois.
120 hectares de générosité
Les terrains libérés d’environ 120 hectares sont investis par le Qatar et plusieurs autres pays arabes et musulmans. Environ 75% de ces terrains sont déjà travaillés.
A noter que la caravane populaire qatarie a visité la bande de Gaza à la fin de l’année dernière 2012. Cette caravane comportait plusieurs associations qataries : Jassem Qatar Aïd la fondation Thani Ben Abdallah pour les actions humanitaires la Croix-Rouge qatarie. La caravane était également accompagnée d’hommes de femmes et d’enfants. 70 fermes ont été financées pour une moyenne de 10000 dollars pour chaque ferme.
Le fermier Awda Abou Amra dit à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que ces fermes sont financées par les bienfaiteurs. Elles assurent des offres d’emplois et des produits frais aussi bien pour le marché local que l’exportation.
Les fruits de la liberté
Les terrains libérés commencent à donner leurs fruits : oignon basilic tomate concombre poivron avec un goût particulièrement distinctif le goût de la générosité de la victoire et de la liberté.
