Le capitaine Hazem Abou-Mourad ; le directeur adjoint en génie des explosifs et membre du Comité de documentation des crimes de guerre a révélé que l’occupation israélienne avait utilisé des matières traitées d’éléments radioactifs lourds dans les charges explosives utilisées dans les armes qui ont bombardé la bande de Gaza.
Abou-Mourad a déclaré au site du Ministère de l’Intérieur que « les armes utilisées par l’occupation contre Gaza sont les mêmes mais ce qui est différent ; ce sont les charges explosives traitées d’éléments lourds ; comme l’uranium le tungstène l’aluminium le magnésium et le nickel ».
Il a également noté que le matériau saturé élève la température à 7 mille degrés Celsius au centre de l’explosion ce qui entraîne à la férocité de l’explosion et accroît l’efficacité destructrice et de combat de l’obus ainsi qu’il a révélé que l’utilisation de matériaux lourds a conduit à la déchirure à la brûlure et à la fragmentation dans les corps des martyrs qui sont arrivés aux hôpitaux de la bande de Gaza.
Le directeur adjoint a passé en revue les types d’armes utilisées par l’occupation au cours de l’agression contre la bande de Gaza soulignant que parmi ces armes des munitions utilisées pour la première fois affirmant que « l’occupation avait utilisé 3 nouvelles munitions pour la première fois ; comme l’obus de type Spice 2000 de fabrication israélienne l’obus de Dellh des obus militaires de 90mm en plus de l’utilisation de l’obus de mk ; de fabrication américaine qui pèse une tonne d’explosifs ».
Le capitaine Abou-Mourad a indiqué que l’occupation a bombardé certaines cibles dans la bande de Gaza à plusieurs reprises et qu’elle avait également ciblé la région par environ 3 milles obus d’artillerie aériens terrestres et d’autres marins à un taux de 600 raids chaque soir pendant les 7 nuits de l’agression.
En ce qui concerne les vestiges de l’occupation après l’agression il a noté que ces restes se trouvent dans les lieux des bombardements et du ciblage et dans les zones frontalières en appelant les citoyens en cas de découverte d’un objet suspect ou de munitions militaires à en rester loin car ça peut présenter un risque pour leur vie.
