Un porte-parole des enseignants dont les noms ont été dissimulés à cause d’une enquête de sécurité en Cisjordanie a déclaré qu’ils « n’accepteront jamais de se taire sur leur droit de travailler dans l’Éducation. Ils ont eu ce travail après un examen et selon les lois mais leurs noms ont été effacés des listes à cause d’une prétendue « enquête de sécurité » que la cour suprême a jugée illégale ».
Le porte-parole a dénoncé aujourd’hui dans ses déclarations les paroles attribuées au ministre de l’Education à Ramallah Lamis Al-Alami qui a dit que ceux dont leurs noms ont été annulés repasseront les concours de recrutement l’année prochaine comme le reste des candidats. Il a souligné que de telles déclarations « sont en dehors du cadre de la loi une violation des lois et une transgression des droits des citoyens ». Il a appelé tous les concernés à se préparer pour des prochains sit-in pour pouvoir récupérer leurs droits.
