Le département des affaires des réfugiés au mouvement du Hamas a fermement dénoncé la décision prise par l’UNRWA de reprendre l’enseignement de « Holocauste » considérant que cette décision est un crime ciblant la cause des réfugiés et vise à supprimer le droit au retour où la gestion de l’UNRWA participe à la dépasser.
Dans un communiqué publié le mercredi 17/10 et dont le CPI a obtenu une copie le département des affaires des réfugiés au Hamas a confirmé son rejet complet à sa décision en disant: « Nous refusons et condamnons fermement cette procédure et nous appelons au même temps la présidence générale de l’UNRWA à renoncer à cette décision et d’arrêter de passer des projets suspects dans le cadres des services fournis aux réfugiés palestiniens ».
Il a vu que les écoliers de l’UNRWA n’ont pas besoin d’un manuel scolaire sur le Holocauste mais ils ont besoin de les enseigner les matières de l’histoire et de la géographie de la Palestine comme des matières fondamentales ainsi qu’ils ont le droit à savoir les massacres commis par l’ennemi occupant israélien contre le peuple palestinien depuis la Nakba jusqu’à présent.
Le bureau a appelé tous les côtés politiques et les institutions de la société civile palestinienne les comités populaires locales et les unions des fonctionnaires de l’UNRWA à faire face contre ces projets suspects et à les complètement rejeter ainsi que de faire pressions sur la gestion de l’UNRWA afin de reprendre l’enseignement de l’histoire et la géographie de la Palestine.
Le communiqué a ajoutré que cette dangereuse décision met les Palestiniens en face de grands défis y compris le maintien de la Fondation de l’UNRWA comme un témoin international sur leur Nakba et de combattre tous les projets qui ciblent leur existence et leurs droits au retour notamment de travailler pour la lutte contre les corrupteurs au sein de l’UNRWA pour être une bonne Fondation à servir les réfugiés palestiniens.