Le premier ministre sioniste Recep Tayyip Erdogan a fait allusion à adopter un plan alternatif comme une nouvelle politique stratégique pour faire agir l’occupation en cas de son rejet continuel de présenter des excuses officielles à Ankara pour l’assaut criminel contre le bateau turc « Mavi Marmara » qui conduisait la flottille de la liberté le 31 mai 2010.
« Un plan alternatif sera mis en œuvre et comprendra une série de mesures punitives qui seront imposées sur le côté sioniste en cas de son refus de répondre aux exigences turques avant la publication du rapport de la commission onusienne « Palmer » pour l’enquête sur l’assaut sioniste sur la flottille de
Le plan comprend une promesse turque sans précédente de former un lobby international afin d’obtenir un soutien à l’adhésion totale de
Les articles du plan stipulent de rendre à zéro les relations diplomatiques entre
Selon le plan le refus du gouvernement sioniste de répondre aux revendications turques pour résoudre la crise bilatérale diplomatique coûterait des conséquences de la coupure des relations militaires économiques sociales et culturelles avec Ankara ainsi que la cession de la coopération commune dans tous les domaines entre les deux parties particulièrement dans l’industrie de défense qui a atteint un haut niveau avant la crise.